LeBoléro de Ravel est entré dans le domaine public le 1er Mai 2016. Oui je sais normalement c’est le 1er Janvier que les œuvres rentrent dans le domaine public mais dans le cadre du Boléro de Ravel c’est super compliqué. Du coup c’est l’occasion de relire toute l’histoire sur le calendrier de l’avent du domaine public des
Lhistoire fait question à la foi et la stimule. La foi chrétienne proclame que Jésus est le Fils de Dieu. Mais l’histoire montre, apparemment, que Jésus n’a pas eu la préoccupation de s’affirmer tel. Bien plus, à ses origines, la prédication chrétienne paraît négliger, au profit d’autres insistances, cette affirmation de foi à nos yeux si centrale. Et qui est en tout cas
Dansce domaine, il n’y a pas de propriété privée. Les grâces des saints nous profitent. Et les grâces dont nous bénéficions peuvent
Or affirme Pascal, si la raison a besoin de la foi pour s'exercer, la foi, elle, se passe bien de la raison car avec le secours de la grâce, l'homme a une voie d'accès à la vérité autrement plus sûre que celle de la raison. « La foi est différente de la preuve : l'une est humaine, l'autre est un don de Dieu » Pensées. B.248.
ROME Dimanche 20 août 2006 – A l’occasion du premier anniversaire de la mort de frère Roger, assassiné le 16 août 2005, à Taizé, nous reprenons cette réflexion de frère François sur la mort du fondateur de la communauté œcuménique de Taizé (cf. www.taize.fr).Dans beaucoup de messages que nous avons reçus l’an dernier, la mort de frère Roger a été
Dieuveille sur ceux qui le craignent, qui mettent leur espoir en son amour, pour les délivrer de la mort, les garder en vie aux jours de famine. Nous attendons notre vie du Seigneur : il est pour nous un appui, un bouclier. Que ton amour,
Dautres pensent qu’en Jésus-Christ nous sommes tous à la fois passibles de la peine de mort (salaire du péché) et pourtant épargnés par le don de sa propre vie à la croix, et qu’il faut donc préserver la vie même du pire des meurtriers, dans l’espérance qu’il se repente et vienne à son Sauveur. La parabole du figuier
Etpour preuve de sa bonne foi, la police publie comme par hasard une « attestation médicale » signée par un médecin de l’hôpital de Cankuzo. Elle précise que cet homme a été admis le 14 mars, qu’il était agité et tenait des propos incohérents, et qu’il est mort quatre jours plus tard d’un accès palustre. Le docteur Innocent Riyazimana prend le soin de préciser sur ce
Carl'athéisme peut se montrer source d'apaisement pour la pensée, alors soulagée du tourment lié au mystère de ce qui advient après
Àenviron 500 mètres au sud-est de la Cité, une croix rappelle l’existence de la chapelle Sainte-Croix, détruite il y a un demi-siècle.
yUn47L. “ La mort est du domaine de la foi. Vous avez bien raison de croire que vous allez mourir bien sûr ; ça vous soutient. Si vous n’y croyez pas, est-ce que vous pourriez supporter la vie que vous avez ? Si on n’était pas solidement appuyé sur cette certitude que ça finira, est-ce que vous pourriez supporter cette histoire… » ” — Jacques Lacan - conférence à Louvain - le 13 octobre 1972
Jacques Lacan à Louvain 1972 Un petit passage de l’intervention de Lacan à Louvain est assez instructif sur sa position philosophique sur la mort. La mort est un produit de la pensée et de la croyance. Dans le fond, le problème pour le suicide serait de trop y croire. Lacan est à l’opposé de Cioran la vie est supportable uniquement avec l'idée qu'on puisse la quitter quand on veut ». Lacan La mort… est du domaine de la foi. Vous avez bien raison de croire que vous allez mourir, bien sûr. Ca vous soutient ! Si vous n’y croyez pas, est-ce que vous pourriez supporter la vie que vous avez ? Si on n’était pas solidement appuyé sur cette certitude que ça finira… est-ce que vous pourriez supporter cette histoire ? Néanmoins, ce n’est qu’un acte de foi. Le comble du comble, c’est que vous n’en êtes pas sûr ! Pourquoi il n’y en aurait pas un ou une qui vivrait jusqu’à cent cinquante ans. Mais, enfin quand même, c’est là que la foi reprend sa force. Alors au milieu de ça, vous savez je que je vous dis là, c’est parce que…et bien, c’est que j’ai vu ça, hein. Il y a une de mes patientes, il y a très longtemps, de sorte qu’on en entendra plus parler, sans ça, je ne raconterais pas son histoire. Elle a rêvé un jour, comme ça, que l’existence rejaillirait toujours d’elle-même » ! Le rêve pascalien d’une infinité de vie se succédant à elles-mêmes sans fin possible. Elle s’est réveillée presque folle ! Elle m’a raconté ça, bien sûr que je ne trouvais pas ça drôle. Seulement voilà, la vie, ça s’est solide. C’est sur quoi nous vivons justement. La vie alors, dès qu’on commence à en parler comme telle. Bien sûr, nous vivons, ça c’est pas douteux, on s’aperçoit même à chaque instant. Il s’agit de la pensée, prendre la vie comme concept ».
Archives Dès les premiers temps, l'autorité religieuse s'est ralliée à l'autorité médicale sur le moment du passage. Article réservé aux abonnés Comment définir l'heure du "grand passage" ? Dater, pour le croyant, le moment du face-à-face avec Dieu ? En islam, l'heure de la mort cérébrale est-elle celle de la mort légale ? Autant de questions qui se posent à propos de Yasser Arafat. Rien dans le Coran, ni dans les hadith propos rapportés du Prophète n'éclaire l'autorité religieuse sur ces questions. Ni dans la jurisprudence. Mais, précise Malek Chebel, anthropologue, dès les temps les plus reculés dans l'islam, l'autorité religieuse se rallie sur ce point à l'autorité médicale. Pour l'islam, il y a "mort" à partir du moment où le médecin affirme que le malade est en état de mort cérébrale ou de coma très avancé et constate qu'il n'y a aucune rémission possible. "La mort cérébrale est la mort réelle", confirment les experts interrogés par Le Monde, notamment à la Mosquée de Paris. Cette mort ne peut être accélérée. Son heure n'appartient qu'à Dieu. L'islam n'admet pas d'euthanasie active, ni même les notions d'"aider à mourir" ou de "mourir dans la dignité". Mais l'islam ne tolère pas plus que la mort soit empêchée. Les pratiques d'acharnement thérapeutique ne sont pas non plus conformes à sa tradition. Quand la mort est constatée par le corps médical - qui fixe donc la loi dans ce domaine - et devient officielle, l'imam, ou le proche qui assiste le mourant, prononce la shahada. La shahada - "Il n'y a de Dieu que Dieu et Mahomet est son prophète" - est la profession de foi de tout musulman, l'un des cinq "piliers". Elle est la dernière parole que tout musulman, avant de mourir, doit prononcer, l'équivalent de l'extrême-onction catholique aujourd'hui appelée "onction des malades". Si le mourant n'est plus capable d'articuler la shahada, un majeur membre de la famille, un médecin musulman ou une autorité religieuse doit lui murmurer la shahada à l'oreille. La tradition veut qu'il le fasse en tenant relevé l'index du mourant, grâce auquel Dieu et ses anges reconnaîtront l'identité du disparu. Il vous reste de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
la mort est du domaine de la foi