Précédent11 121314 15 Suivant Atelier numérique "Comment créer et paramétrer sa fiche d'établissement Google ?" Science et technique, Atelier Étaples 62630 Du 00/00/-100 au 99/99/-199 Que vous soyez porteur de projet ou dirigeant d'une TPE/PME, la transition numérique de votre activité professionnelle est un enjeu majeur actuel. À la Maison des Entreprises, notre
EcoutezL'histoire derrière le chant: les océans par Julien Adam. tiré du recueil J'aime l'Eternel, vol, 4. N° 1052 L'ombre et la peur peuvent m'entourer, les éléments se déchaîner, le Dieu de victoire se bat pour moi, pour me délivrer. Et rien ne saura lui résister rien ne pourra le faire plier, le Dieu de victoire a pris la croix
Cest ton océan dans lequel je veux nager C'est ton spectacle, et je te regarde Te perdre n'est pas une option Si tu me laisses comme un message dans une bouteille Et que tu ne reviens pas demain Au moins, tu es revenu ce soir Je n'ai pas de mal à faire comme si je n'étais pas embarquée dans cette histoire
Mauraétait à quelques centimètres du visage de Jane, elle soutenait son regard même si cela venait lui déchirer les entrailles. Il était malheureusement temps de s'en aller avant de dépasser la ligne et se perdre à jamais. Elle déposa un baiser plus que furtif sur les lèvres de Jane qui restait impassible le doigt toujours pointé vers la porte. Elle attrapa son sac et disparu sans
Mêmesi le néant existe . Retour aux mots qui blessent, déjà évoqués, et auxquels Mylène opposent un autre aspect de la parole, à savoir les « mots qui caressent ». Ici, ce sont les mots qui caressent, verbe à la nature physique qui semble difficilement pouvoir s’appliquer à de la parole donc. On retrouve le lien intense qui
Abritemoi Reuben Morgan Abrite-moi sous tes ailes, Couvre-moi par ta main puissante. Même si les océans se déchaînent, Je les traverserai avec toi. Père, tu domines les tempêtes, Je suis tranquille car tu es là . En Jésus seul je me confie, Il me donne force, calme et puissance.
Résumés Les cinq poèmes de Victor Hugo souvent réunis sous l’appellation de « nébuleuse “Océan” », bien qu’ils aient été séparés dans des publications tardives, possèdent plusieurs caractéristiques communes : une même période de rédaction bien circonscrite (février 1854), une forte unité thématique, et une forme
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Mêmesi les océans se déchaînent j'y arriverai par toi. Une mélodie pour toi
Jevous sortirais de l'impasse où la monotonie de la routine vous tasse. J'apporterais le rêve et la lumière. J'ai l'art et la manière. Le don d'avoir l'air immortel. Léger comme l'air, tel le volatile qui ne touche jamais terre. Je suis celui que tu aurais aimé être. Celui que tu suis qui te monte à la tête.
fPBtij. Paroles Je ne suis qu'une goutte dans l'océan, une goutte de plus parmi vous Une goutte de pluie ou une larme de plus sur les joues De notre planète Terre, Mère pardonne nous L'homme a créé ce tourbillon, qui nous a tous rendus fous Folie générale, même les climats ne tiennent plus le coup Nos vies ternissent par notre faute, on en a même perdu le goût J'ai peur du coup, pourtant j'ai bien vu la Lueur du gouffre Du moins je l'ai aperçue, en éclairant un peu mon coeur du fouillis Que le Soleil, la Lune, les Arbres, les Mers nous pardonnent Toutes les espèces vivantes que la mienne a exterminées J'demande pardon, parce que tout le mal qu'on a créé Faudra de la force pour le réparer et j'ai du mal à voir que ce monde est prêt L'immonde est près de nous mais j'ai la foi que ça change Ça parait fou une goutte de plus peut-être une goutte qui dérange Une goutte noyée, dans un océan qui se déchaîne Et tente de nous broyer, voyez, on a pourtant pas de haine dans les gênes Tant pis, on part de là , mais on peut aller loin L'enfant en chacun le sait même si on fait comme si tout allait bien Que la rage demeure, fait naître tant de violence dans nos coeurs Trop de conflits en pagaille, aux ondes qui s'installent dans nos peurs Venez pas, faire un tour dans nos esprits en bordel Mélancolie, une goutte de plus et le poison devient mortel Simple reflet d'un monde particulièrement en bordel Juste une goutte de plus pour que déborde le vase ou l'cocktail Parce qu'il suffit d'une goutte de plus parfois pour que tout change Rééquilibrer, faire basculer, pas besoin de beaucoup de chance Juste du goutte à goutte, avant que le sablier ne se vide Limpidement le temps s'écoule, et la raison ordonne de fuir vite Le cœur dit de se battre et même si c'est trop tard Dignement allons-y pour le geste, et pour que nos idéaux partent Rejoindre le Ciel, qu'on en reçoive les pluies Juste une goutte pour chacun, une goutte qui suffirait à remplir chaque cœur Même si le temps écrit tristesse On aperçoit la Lumière au loin, libératrice, mélangeant calme et ivresse Qui goutte à goutte nourrit lorsqu'on s'en approche Loin de cette maudite flaque, reflet d'une époque atroce Une Lumière qui semble être la source Qui se déverse dans les cœurs pleins d'espoir et qui fait fondre la frousse Que la Vie nous donne le courage De ne plus se voiler la face, une goutte de cran, de compassion Juste une goutte qui soulage Je ne suis qu'une goutte de plus noyée dans l'océan qui sait Qu'à nous tous, on pourrait faire plein de vagues et tout éclabousser Poussée par un Vent de Sagesse, émanant du Ciel Un peu plus de Foi, la mienne, elle m'a rendu sienne Que chaque maillon se ressoude et reconstitue la chaîne Et si ce monde veut notre peau, gardons l'Esprit et la Chair On y arrivera, même si ici le Mal est bien portant Parce qu'on est tous une goutte de plus Et que chaque goutte est importante Chaque pensée, chaque mot Juste une goutte de plus Chaque geste, chaque action Juste une goutte de plus Chaque personne Juste une goutte de plus Juste une goutte de plus Juste une goutte de plus Car tout n'est que le maillon d'une longue chaîne Et qu'on peut tous changer le monde à son échelle Car tout n'est que le maillon d'une longue chaîne Et qu'on peut tous changer le monde à son échelle Jeremy Merzouk, Victoire Monnier
Harry Potter 2005 ~¤~ Académie de Poudlard ~¤~ Les couloirsVanille FleurySerpentard Re Château non-coopératifVanille Fleury, le Mer 16 Nov - 1556 À quoi penses-tu ? Me prends-tu pour une égoïste ? Une idiote ? Personne qui n'est pas née de sang pur ne peut comprendre cette aversion que j'ai pour les sangs mêlés et les sangs de bourbe. Pour moi il ne s’élève qu'à grande peine à la catégorie d'insecte et encore je suis gentille. Certains diront que je suis folle, beaucoup seront choqués mais c'est la vérité. Je ne comprends pas comment des gens sans appartenance magique naissent soudain avec des pouvoirs, ce ne sont et ne sera jamais des sorciers à mes yeux ! Ils ne sont nés que pour servir et l'idée même de fréquenter le même établissement qu'eux me sorciers de sang-mêlé ne valent guère mieux à mes yeux, ils me dégoûtent peut-être même plus encore. Le fait d'aimer ou même de coucher avec un mordu me révulse au plus haut point. Ils ne sont pas dignes d'être de notre monde. Ne sont pas digne d' profondFace à la différenceEt cette insanitéDe la natureIl faut dire que mon éducation en est pour beaucoup, aurais je réagis comme cela si j'avais été élevée dans une autre famille . Je ne pense pas mais la répugnance que j'ai pour eux aujourd'hui est évidemment liée à celle de mes parents. Mon père ma élever, enfin, m'a fait élever, dans ce principe et il me serait presque impossible même avec la meilleure volonté du monde de ne pas suivre ce qu'il m'a fait rouge et or perdent son sang-froid, elle sort sa baguette et la pointe vers Tu me parles encore une fois comme ça et j'te défonce ok ?Je sors ma propre baguette quelques secondes après elle. Cette jeune fille n'a aucune chance. Je suis versée dans la magie noire depuis mon plus jeune âge et suis assez puissante pour contrer ses misérables coups. Quelle idiote ! -Je demande à voir !Mon ton est un brin ironique mais reste sérieux et glacial. DoucementLe serpent et le lionSe lève L'un contre l'autreDommage pour toi qu'on doive en arriver là ma petite. Je ne voulais pas te faire de mal trop vite mais c'est toi qui provoques. Y a-t-il quelque chose de particulier que je doive graver sur ta tombe ? Je me tiens droite et fière, la mine hautaine et le regard assuré. Je ne suis pas une proie facile et tu as réveillé le serpent qui se cachait en moi. Je ne désir plus qu'une chose, voir ton sang couler et prendre ta vie. Cessez d'entendre battre ton cœur et tes poumons de Statum ! Invité Re Château non-coopératifInvité, le Jeu 1 Déc - 1720 Désolé pour le temps de réponse la baguette pointéecomme une arme moldueprête à tirerprête à tout pour gagner je suis prêteelle ne me fais pas peurje suis courageuse et audacieuxles griffes sortiesle sang coule déjà sur ma peauje le sens dégouliner le long de mon ventreet les frissons les frémissementqui parcourent mon corpsles poils qui se dressentje l'aije suis un homme à présentje ne vais pas vous laisser le volerje suis un homme à présentun homme généreuxle sens de la vie qui se reflètedans mes yeuxcomme deux gouttes d'eau au milieu d'un lacet qui tombequi tombequi brillecomme un diamantje frappeles oiseaux-chiens qui tirent mes cheveuxparce queleurs dents ravageraient une barbe d'orj'ai perdudes amis sans yeux dont le sang se glacemon nouveau peuplesur ses talons silencieux prétend être ancienet je grelotteau milieu de tout ce mondequi me soulèveet me porteje frappe entre les deux yeuxcomme une mouchevolant autour de ma têteelle me dérangeje ne la supporte plusl'argent qui coulequi perle sur mon frontje frappecomme deux mains opalineséphémèresattrapent ces fils de soiequi recouvre et tire sur tes piedscomme les manettes d'un jeu horriblemarionnetteelle veut être un hommemais à présentil est trop tardmais elle mentelle veut renaître encoresur mon dos marqué d'un croixelle veut renaîtreau milieu des démonspeuplant ce monde de fouet mon curieux visagelaissé entre les flammes d'un grand incendieelle veut renaître à nouveauelle se croit Puissanceelle se croit Dominationelle se croit Autoritémais elle n'est rienqu'un goutte de sang de plusqui tombera sur le sol enneigésur ce blanc cristaldessous mes ongles étincellesse dessine cette courbe duvetJe demande à voir !elle ne sait rienelle n'a rien donnéni argentni tempsni amourelle croit connaître la vieet toutes ses conséquencesla psychologie humaine l'échappetotalementelle croit tout connaîtredes sentimentsdes émotions des actesmais sait-elle que son histoire n'est rien comparé à la vie ?elle veut toutl'argentla popularitémais ne se comprend pas elle mêmeelle croit pouvoir gagnermais ne pourra rien faireface à un angeEverte Statumle sol m’accueille avec joiemais pas pour bien longtempsje sens à peine la douleur qui transperce mes genouxet je suis déjà sur pieds elle ne comprend paselle ne comprend rienet la baguette toujours pointéeet voilà que deux secondespourlancerce sortdeuxsecondespour réussiret ne paséchouerfaceà cette épreuveElectrocorpusVitesse supérieur Vanille FleurySerpentard Re Château non-coopératifVanille Fleury, le Ven 9 Déc - 1705 Pas grave, je ne suis pas très rapide non plus 'Tant de douleur. À quoi cela sert-il ? Je me fais mal. Je lui fais mal. Je nous blesse. Pourquoi ? Pour moi. Pour vivre. Mais ce n'est pas vivre. Simplement survivre. Rester en vie. Toujours. Je peux le faire. Je sais le faire. Mais à quel prix ? Comment puis-je délibérément faire du mal aux autres ? Pour me protéger. Me sauver. Mais c'est un échec. Tout ça ne mène à rien. Je m'enfonce. J'étouffe. Je meurs. Personne ne sait. Personne ne vois. Je crie. Je hurle je veux finir. Pourtant je suis là . Je fais mal. Sans cesse. Sans arrêt. Je n'ai pas le choix. C'est ma seule chance. Mon unique salut. Elle ne comprend pas. Elle ne saurait pas. Ce n'est pas grave. Je m'en veux. Je lui en veux. Car même sans ce cauchemar permanent que je vis. Elle m'a mise hors de moi. Heureuse. Sereine. Stupide. Je l'ai haïs dès l'instant où mes yeux se sont posé sur elle. Gryffondor et Sepentard. Une vieille querelle. Quelque chose que je ne suis pas prête à essayer d'éteindre. Non, juste rajouter de l'huile sur le feu. Ma baguette est dans ma main. Son contact de bois est rassurant au toucher. Crochet de serpent. Telle baguette, telle maîtresse. Une connexion si puissante en elle et moi que je n'envisagerais jamais de me promener sans elle. Plus qu'un simple objet. Comme une amie, une extension de moi-même. Une parcelle de mon âme qui a tant de foi offert la douleur à mes ennemis. Le venin coule en elle comme en moi. Il n'y a plus que nous. Seules contre tous. Âmes jumelles. Âmes sortilège l'a touchée. Elle est tombée. Grimage de douleur. Onde de plaisir. Elle est debout. Tout est allé trop vite. Déjà sa baguette est sur moi. Mon visage se fige. Comme si le temps ralentissait. Ses mots résonnent à mes oreilles tandis que je vois ses lèvres formuler un sort. Je veux bouger. Éviter. Je ne peux pas. Je n'en ai pas le temps. En un éclair le sortilège vient me frapper en plein fouet. Je ne connais que trop bien la sensation de la choc électrique me percute et m'arrache un hurlement. Je tombe à genoux. Douleur. Le sortilège fut bref mais puissant. La souffrance. Cette douleur n'est rien comparer à ce que j'ai subi par le passé. Mais cette formule réveille en moi une douleur bien plus ardente. Mes yeux se posent sur mon poignet. Toujours à terre. La tête baissée. Mes longs cheveux lisse d'un blond platine tombe comme une cascade devant mon visage. Mes yeux brillent d'un éclat nouveau. Un éclat de haine gravé dans ma chaire. Mot que je n'oublierais jamais. Mot qui me fait mal. Mot horrible. Traîtresse. Telle une cicatrice, un aide-mémoire, une plaie hideuse barrant mon poignet. Traîtresse. Existe-t-il pire comme mot ? Fait-on plus horrible ? Quand tu sais qui te l'a inscrit à la force d'un sortilège. Parents. Géniteurs. Ils devaient m'aimer. Ils m'ont torturé. J'étais heureuse. Ils m'ont tout enlevé. Albus… Et j'ai mal, mal, mal… Je me relève. Doucement. Lentement. Je ne parle pas. Tête inclinée. Je relève le menton. La dévisage. Froide. Glaciale. Hautaine. Cruelle. La haine tout entière a rempli mon être endolori. Je fus une victime. Je ne l'ai suit plus. Une enfance brisée. Une vie détruite. Une pression trop forte. Je me venge. De la vie. De mes pleurs. De mes cris. Des nuits blanches qui ne semblaient jamais vouloir se terminer. Je souris. Plus personneNe peuxMe briserJamais-Repulso Invité Re Château non-coopératifInvité, le Ven 30 Déc - 1031 Deux yeux. Braqués sur moi. Deux diamants luisants. Qui brillent dans la pénombre. Ça brûle. Les rétines miroirs. L'âme profonde et sanguine. Les pupilles. Qui se dilatent. Qui grossisent. Deux points noirs sur fond gris. Trois traits. Au crayon gris, sur la feuille blanche de la vie. Et ils s'estompent, disparaissent sous les éclairs des Dieux. On m'observe sous les nuages, on m'observe par dessus les mers. Les nuées de papillons blancs qui volent autour de moi. Ces nuages d'ailes qui bat, qui bat, qui bat. Fort. Plus fort que les océans et les visages qui m'entourent. Trois doigts sur mon front, en signe de paix, en signe d'amour. Le soleil brille. Le soleil resplendit. Les dents blanches de leur sourire. La vie continue, mais pas avec cette revient. Je la sens au plus profond de mon âme comme si elle avait disparu à tout jamais, et qu'elle était finalement revenu beaucoup plus puissante qu'auparavant. Mes mains me chatouillent, me brûlent comme une boule de feu bien trop puissante que ce que je peux supporter. Une goutte de sueur coule de mon front. Le long de mes tempes qui battent à tout rompre, de mon nez qui brille de malheur, de ma joue qui gonfle jusqu'à explosée, de mon menton qui pointe l'autre Terre en face, qui m'a l'air plus sympathique que la mienne et qu'il faut conquérir. Et puis. Ploc. Sur le sol, elle tombe. Cette goutte. Rapidement elle dégringole l'échelle de la vie. On dirait moi. Et. Ploc. Sur le sol. Elle forme une flaque. Une flaque minuscule. Il ne faudra pas glissé dessus. Pour ne pas se s'étaler. Pour ne pas paraître ridicule. Cette flaque, c'est le lac de Poudlard. Noir et profond. Sombre à ne jamais en finir. Un lac où la noyade est assurée. Il faut faire attention, très attention. Je fais un pas, devant moi. Le lac est passé, derrière moi maintenant. Un cri déchire l'air. Juste en face de moi. La fille que j'essaye de détruire. Que lui ai-je fait déjà ? C'est une bonne question, je ne me souviens de rien. Mes souvenirs sont déjà loin, emportés par la magie. Boum. Ses genoux claquent le sol, dans un tonnerre de craquement. Elle est tombé, comme la goutte du film dernier. Elle aussi est dans son film. Je sens sa rage dominer sa conscience. Je murmure quelque chose que moi même ne peut pas entendre, sûrement un juron ou une plainte. Elle se relève déjà . Lentement mais sûrement pourrait-on dire. Même si je ne suis pas sur du sûrement. Elle me fixe. Avec ses yeux d'acier, découpant l'espace qui nous entoure, et aspirant le peu d'air qui restait. On la croirait sorti d'un film d'horreur, avec sa baguette dans la main, telle une hache, ses cheveux blonds décoiffés par la chute, ses deux yeux braqués sur sa cible comme si elle ne voulait pas me lâchés. Elle ne veut pas me lâcher. Et moi non plus d'ailleurs. Et je suis prête. Prête à esquiver. Prête à lancer. Prête à bouge, mais trop lentement. Elle lève sa baguette, bouge ses lèvres. Le sort part, lancé à pleine vitesse. Direction moi. Mais celui la ne me touchera pas. Alors je saute, je bondis, et rebondis. Le sol accueille mes pieds. Je plie les genoux. Le sort est allé s'écraser contre le mur derrière moi, qui me dominait encore il y a quelques secondes. Je n'aurais pas aimé être sous ce sort en voyant les dégâts causés au mur. Mais je ne dois pas perdre mon temps, profiter de son inattention pendant que je le peux encore. Je ne réfléchis pas au sort et je lance tout ce qui me passe par la tête. Bombarda d'abord à droite, puis un deuxième à gauche. Et mon, dernier sur elle. J'espère qu'ils vont passé. Au moins un. Je souris. Me prépare à la deuxième vague d'attaque. Mes griffes sont prêtes à déchirer. En fait, je ne ressens plus rien. Même pas de la haine. Presque cela m'amuse. Je sais qu'elle va perdre, qu'elle va abandonner car je la dominerai. Je suis bien plus forte. Vanille FleurySerpentard Re Château non-coopératifVanille Fleury, le Ven 30 Déc - 1242 HRP J'expérimente un peu ces temps si, désolée ^^Ça explose, ça se tous bruit est n'aime pas ça façon de quelqu'un aussi n'est pas pour préfère la méthode l'autre. Glisser sournoisement un peu de détruire de l' le regarder se ses yeux bouche entrouverte pour un dernier son qui ne sortira voir l'autre ton rire sans t' les rires font bien plus que les il faut que je cesse de le combat est loin d'être gagné. Je plonge, j' le mur roche m' joue, le douleur expose et le sang marque de liquide rouge m'emplit la un éclair je cette pelouse qui me paressait si le revois sa baguette brandie sur crie, je rien n'y sourire est carnassier et la douleur souffrance est cette joue qui sa bague qui me gifle. Ça n'aurait servi à rien de se contre contre elle…C'est est plus douée que le partie car elle est plus puis surtout grâce à ce qui montre bien son statut d' soulève et la sort de la masse des autres devrais m'en assez de problème comme ça avec l' pas que j'aime enfreindre le ce fichu préfet qui m'a bien sûr empressé de tout narrer avec quelle m'en étais pris à la comme je le si peur de me faire ma réaction de mes ferait ils s'ils savaient ?Quel horrible châtiment trouverait-il pour me punir ?Je ne veux pas y si peur d' me dis la fuite est peut-être la doute lâche mais bien moins ne risque rien à ses yeux m'en à l' détruire et puis seulement peux la j'ai toujours faire j'ai blessé l'autre ma propre de lui pas tomber du côté pas basculer dans la côtés moi au ne bouge peur de percuter l' m' dans le noir ou trop dans la Question de point de rouge est aujourd'hui je me le je serais lui montrerais mon véritable que je cache sous mes jolis qu'on a faite de ont fait de montre les à la laisser liquide qui coule doucement dans mes on me l'a pour cercle est été lumière si elle s'était appelé crois, je pense, j' ce que je vulgaire pion qui s'acharne à maintenir l'équilibreJe n'ai plu qu'une seule mission et je ne faillirais mes pour ça que je tends ma nouvelle fois j’étends mon n'est pas pour pas pour dépasse une petite ma tête en tout ai-je tort ?De m'acharner comme pis, j' la partie de ma Voyons tu t'en sors avec ça… Invité Re Château non-coopératifInvité, le Ven 27 Jan - 1648 Encore désolé du temps de réponse Prends ma main à travers les flammesRejoins moiJe suis accro à la douleurJe voudrais t'enchainerTe pendre par les piedsT'attacher la tête en basTe voir souffrirJusqu'au sangLa pression me donne de l'anxiété. Les deux mains en l'air, je crie, je crie. Je regarde, je vois. J'observe le monde de mes deux yeux de flammes. Dix orteils à terre. Je marche lentement à travers les flammes. Je les sens, me chatouiller, me caresser. Je souris. Je suis juste timbrés, je deviens folle, vivant la vie comme si tout était incroyable. Le monde tourne, moi je reste immobile, plantée dans le sol, dans l'air, nageant avec les requins que j'embrasse. Ils me cherchent, me narguent, avec leurs viandes dégoulinant de sang. Je dors un couteau caché sous mon coussin. Je couche avec le Diable pendant qu'il est encore temps. Dose complète de dysfonctionnement préjudiciable. Je pourrais me couper la tête juste après m'avoir poignardé. T'es qui pour me faire souffrir ? Ce n'est pas moi qui a déjà essayer de se trancher les veines avec un bout de verre d'un miroir cassé ? Tu vois, je suis une ratée. Une ratée qui fait du mal. Je mange des toasts de méduse, toute nue au Pôle Nord. Cet endroit a glacé mon cœur, vide de tristesse et d'amour. Âme perdue. Je ne crains rien, ni galères, ni demain. Ne te plains pas, regarde moi, regarde ma souffrance et souffre. Reste là où t'es. Ne m'enmerde pas. Je vais doucement puis j'accélère le rythme? Toujours plus vite. Toujours plus vite. Danser plus fort que les flammes. Tu sens ton coeur battre ? Alors profite de cette sensation pendant qu'il est encore temps. Les balles volent, partout dans la pièce. Elles courent autour de moi. Les chiens aboient. Ils me mordent, déchirent ma peau avec leurs dents. Le sang coule sur mon visage, mon pelage d'humain. Je cherche, je me cherche. Tu as tord de t'attaquer à moi. Reste où tu es. La cage se resserre. Je me rapproche, doucement, telle une yeux percent l'obscurité lumineuse. Je te vois, ta baguette dans la main. Gangsta. Tu ne sais pas à côté de quel psychopathe tu es. Recule, avant que la mort suive. Mes mains m'échappent. Je tire. Dans tous les sens, partout, ici, ailleurs. Explosion du sol. Explosion de mon coeur. Que fais-je ? Serpent serpillère. Tu laves le sol avec ta petite queue. Nettoie bien, tout doit être propre pour mon passage. Allez astique et décrasse. Rince et savonne. Il ne doiut avoir aucune trace. Aucune. Zéro. Ou tu seras punie. Société suis à défie les défie les mystères et les moi tranquille. Je ne réagis pas assez vite. Ton muscle se tire et s’étend. Je te vois. Lever ton bras. Je souris. Je vais bientôt souffrir. Tes yeux-lames me repoussent. Tu rages, tu grognes. Petit bébé trop gâté. Tu ne sais pas ce que c’est la vraie vie. La dure. Celle qui détruit et grandit. Celle qui te montre à quel point ta vie ne sera qu’un infime passage dans la vie de l’être humain. A quel point tu n’es qu’un petit point sur la Terre, tellement petit qu’on ne te voit même plus. Tu ne connais pas ça toi ? Tu te crois puissante. Tu crois pouvoir changer le monde, sourire au mal ou au bien. Qu’es tu d’ailleurs ? Nan, ne me le dis pas. Je ne veux pas sur ma peauDu feu m’est tombé sur mes brasJe vois rouge, je vois noirJe ne vois plus rienDes petits bonhommes se promènent sur mes avant-brasOù sont les pompiers ? Au feu, au feuY’a la maison qui brûleSauvez moiOù est le paradis ?Laissez moi le rejoindreOuvrez moi les portesCa brûle, ça brûle Eau, eau, eauNon, je ne sens rienRésisteLarme à l’œilNonRien du toutJe suis toute puissanteJe suis la TerreLe temps défileLe sol se rapprocheTiens bon petit soldatLes secours arriventDéfend-toiAu lieu de rester immobileAgisDétruisConstruis la mortFais souffrir la souffranceFait dormir le serpentFait tordre son corpsMetalo scencioSouffre petite bestioleTu vas en baverJe vais t’anéantir comme un pauvre petit insecteEt oublier mes brûlures. Je soignerai ça plus tard. Vanille FleurySerpentard Re Château non-coopératifVanille Fleury, le Sam 11 Fév - 901 La bataille vibre autour de de deux parfaite idéaux non cette douleur…Ce mal qui ronge, qui les flammes tout colère et ce monde où la justice est perdue. Les belles phrases s'oublient pour ne garder que la souffrance qui reste, prend et tourne autour de moi, autour d'elle pour nous et le monde. Qui lui aussi ploie sous le feu. Mais les hommes ne remarquent pas, jamais, aveuglés par la beauté et la puissance des flammes, il n'observe pas la fumée, les traces que les flammes laissant. Le feu est monstre, danger, horreur. Et moi je l'ai libéré. Pourquoi ? Pour elle… Pour cette fille qui est mon opposé en tout point et qui attise la haine dans mon organisme sans me ménager. Mais moi aussi je dois arracher ma douleur, je ne suis pas forte, je ne le suis plus. Une simple créature de l'enfer, à qui on a déchiré les ailes, je suis un ange noir, une démone. Viens te battre petite lionne, tout qui est blanche dans ce monde sombre, toi qui gardes peut-être encore un peu d'humanité en toi. Peut-être auras-tu mes réponses, peut-être dois-je venir les chercher dans ton sang ? Ne me mens pas je sais qu'il y a en toi, un brin de vitalité qui me fait tellement je suis jalouse, je ne le cache plus et c'est pour ça que je veux te voir gisante, fille, oui brisée au sol comme je le suis dans les enfers, pour que tu souffres comme je saigne, que tu pleures, que nous mourions ensemble. Je suis fille des ténèbres, enfant du diable, cruelle, manipulatrice et je me ris. De tout de toi, de ta faiblesse comme de ta force. J'ai ma vie là , ici, je la sens entre mes doigts brûlant de malheur. Je pourrais te la confier, je n'en ferais rien, elle est encore à moi, j'en ai encore besoin. Je sens l’adrénaline qui circule, porte ma main à ma joue pour l'en retirer couverte de sang. Le liquide rouge coule, roule, fuis sur mon bras. Magnifique… Je lape le rubis comme un chiot cherchant le lait de sa mère. Un goût de métal explose entre mes lèvres et je jubile, mes yeux explosent, mes pupilles se dilatent, je ne suis plus moi je ne suis que diablesse. Regard fou, dents rouges, je deviens accro à cette nouvelle boisson, j'en veux encore, tu entends petite fille . Mais ma prochaine gorgée viendra de toi. J'ai soif… J'ai mal… Je vois les flammes qui se je l'aperçois elle du feu, marchant parmi les un cauchemar, comme un la vois qui s' sauvage au pied vit, elle moi, pour ce tourne à l' qu'il n'y a pas de ma tête ma bouche rire dément, un rire de se répand travers le vois sa baguette qui se lève, je n'ai plus peur, je vois ses lèvres qui bougent et je souris. J'entends un bruit qui file, je sens l'acier qui mord ma chaire. Et je souffre. Crie, crie, crie plus fort. De cette entrave, cette douleur, qui brûle et me consume de l'intérieur, je dois sortir, je me débats. Les liens se resserrent. Plaquée au sol, je vois la lumière brûlante se rapprocher, le métal qui m'entaille tandis que je combats mes chaînes, je crie, gémis. Les larmes coulent, lave en fusion sur mes joues, yeux d'éclairs, yeux de noirceur, j'ai mal, mal, mal. La fureur s'empare de mon être, je ne suis plus moi, je ne l'ai sans doute jamais été. Je veux sortir ! Animal captif, l’instinct d'horreur s'empare de moi, mon cœur bat trop vite, mes yeux roulent effrayés. Qu'ai-je fait ? Pourquoi suis-je ici ? Que s'est-il passé ? Les questions se bousculent en tendant à me faire exploser mais, elle n'y arrivera pas, je suis forte, bien plus forte. Même dans ma douleur, dans mes pleurs. Alors ma respiration se calme, mon part animal se rendors, je me maîtrise pour rester en vie sentant la brûlure du filet sur ma peau. Uniforme en lambeau je cherche des yeux la lionne mais ne peux pas bouger ma tête plaquée sur le sol. Je le regarde mais mes yeux sont différents, empreints d'un respect nouveau, je souris. Nous nous sommes battue, elle a gagné, j'ai besoin de ma vengeance mais je ne suis pas en état de la réclamer. J'aime cette lionne, d'une haine brûlante. Je souffre mais mes lèvres fendues s'ouvrent encore une fois. Mon regard de tueuse reste et ma folie meurtrière ne me quitte pas. Je ne suis plus rien, âme détruite, brûlée et enchaînée. Je murmure pour elle, pour moi, pour le monde… - Le métal m'entaille et le goût du sang qui emplit ma bouche me parle de défaite… Je suis prisonnière comme tu es libre, lionne, me voilà enchaînée car quelqu'un se doit de perdre, aujourd'hui c'était à mon tour, je ne puis bouger, je ne puis me battre, simplement t'observer et jalouser cette force qui émane de toi. Alors laisse-moi te remercier, sœur de douleur. Pour la leçon de vie et de souffrance…Je m'oublie lentement, je suis à sa merci et pourtant tellement moi. Je griffe, lionne, je mords, j'envenime et je tue. Fais attention et n'approche pas, aujourd'hui je suis le cobra, enchaîné certes, mais bien vivant. Alors viens, enfant, viens me rejoindre que je t'attrape, que je plante mes dents dans ta chair, je te respecte comme je te hais, vois la haine au fond des mes yeux brûlants, regarde et approche… Invité Re Château non-coopératifInvité, le Sam 11 Mar - 008 Désolé pour ce rp un peu pourri xEt voilà . C'est fini maintenant. Tout est terminé. Tu peux t'en aller tranquillement. Elle a perdu. Et tu as gagné. C'est fini. Tu peux partir, la laisser là , et filer comme une voleuse. Tu pourras retrouver ton lit, te recroqueviller sous la couette et tout oublier le temps d'une sieste infinie. Tu pourras marcher, sous la pluie ou le soleil, avec un sourire aux lèvres, fière et contente de l'avoir vaincue. Tes pas se feront léger, effleureront le sol et caresserons les touffes d'herbes. Et tes bras se balanceront tels la pendule du château. Tu cligneras des yeux, savoureras ce plaisir, cette victoire. Tes doigts se décrisperont et tes mains lâcheront ta baguette en bois d'amande. Les feuilles d'arbre voleront autour de ton corps en parfaite harmonie avec la nature. Et tu sourieras, encore et encore. Tes lèvres étirées vers le haut. Et tu savoureras ta victoire. Ayant enfin effectué quelque chose de ta vie. Et tu marcheras, jusqu'à en mourir. Jusqu'à la dans sa cage de métal, elle t'observe, te scrute. Son égo en prend un sacré coup. Grâce à toi. Regarde tes mains, ce sont elles qui ont vaincu cette pauvre fille. C'est toi qui l'a combattu, qui la vu fléchir, qui l'a vu se soumettre. Ce sont tes yeux qui l'ont éblouis. C'est toi seule, toi et seulement toi. Tu as agi, enfin. Elle paraît si fragile, si facile dans ce filet qui l'enchaine et l'entrave. Tu t'es défendu, jusqu'au bout, tu t'es battu, et tu ne t'es pas laissé faire. Applaudis toi. Réjouis toi. Et laisse la dans son malheur, sa tristesse et sa haine. Relâche toutes émotions qu'il pourrait encore exister au sein de ton coeur. Détend toi. Elle est hors de danger. Laisse la danser, gesticuler et parler. Ne l'écoute pas. Ne la laisse pas t'amadouer. Tu en as trop eu pour aujourd'hui. C'est fini maintenant. Terminé. Tu es libre. Et elle est perdue. Tu lis la haine dans ses yeux, mais elle ne lit rien dans les tiens. Car tu ne dis rien, ne fais rien. Reste et arrête de t'inquièter. C'est fini maintenant. C'est te voilà sur le chemin du repos. Tu es allé, tu as vu, tu as vaincu. C'est comme ça maintenant. Tu es forte et puissante. Et tu peux allé te coucher tranquillement et t'abandonner dans la paix qui parcoure tout ton corps. Tu peux maintenant te recroqueviller comme un petit bébé perdu sans sa maman. Tu peux trouvé le temos maintenant. C'est fini. Tout est du rp pour moi !Merci ♡ Vanille FleurySerpentard Re Château non-coopératifVanille Fleury, le Sam 11 Mar - 1224 Sorry panne d'inspiration /Le RP était vraiment super ! ______________________________Le combat est lionne à garde le goût amer de la qui emplit la tu ne peux plus rien lionne part, s' serres les cesses de te ne sert à rien, querelle est bien trop à rester prisonnière j'enrage, qui pourrait me sortir de ce sale pétrin quand bien même je pourrais avertir quelqu'un. Mais je sens un bout de bois sous ma main, ma baguette, je dois ne jamais avoir été aussi heureuse de la retrouver. Je soulève ma main avec difficulté causée par le filet de métal et fini par pointé mon arme en direction des mailles bien trop serrées. Diffindo Au fur et à mesures du sortilège prononcé et re-prononcé, je parviens doucement à me libérer de l'emprise du fer. Je suis dans un sale état mais le carnage est encore pire autour de moi. Alors je prend ma baguette et la pointe vers les murs et tableau cassé par le bombarda de la jeune Reparo, AguamentiPlus de fumée, objet réparés, je préfère remettre un peu d'ordre au cas ou un membre du personnel voir un préfet déciderait de passé par ici. Une fois le travail achever je commence à marcher, sans réellement savoir où je vais, pas en cours c'est certain, il faut que je soigne mes plaies, une nouvelle flopées de cicatrices qu'elle m'a infligée. Si elle pouvait savoir à quel point je la haïs, l'envie de la retrouver et si forte… Pourtant je sais que je ne peux plus rien faire dans cet état en tout cas. Mais un jour je la retrouverais, je m'en fais la promesse et ce jour ce sera à son tour de mordre la soupire je m'arrête un instant, m'appuyant contre un mur pour reprendre mon souffle. La rouge et or ne m'a pas ménagée, j’espère avoir la force de me traîner jusqu'aux cachots pour rentrer dans mon dortoir. La tête me tourne, le sang se mêlent à mes cheveux, j’espère ne croiser personne dans cet état mais je suis bien consciente que rien ne serait arrivé si je n'avais interpellée cette fille pleine de sérénité si j'avais fermé mes lèvres et que le serpent s'était tu. Alors peut être que j'aurais pu éviter de me faire ainsi lyncher par la jeune serpent si tu à quel point je te t’empares de moi sans crier me voilà bien en miette, honneur sais pour ne pas avoir résister… J'aurais aimé avoir su t' pas t'écouter juste un n'en serait pas là … [Fin du RP] Hugh DeyLégendeGryffondor Re Château non-coopératifHugh Dey, le Mar 28 Mar - 949 RP précédentJ’avais fait mon premier piège. La nuit était encore présente sur le château Poudlard. Moi, ayant pris l’apparence de Sergeï Kholov, je poursuivais ma mission. Et surtout après tout cela, je me devais d’agir normalement. Comme si rien n’allait se guidait mes pas avec rapidité et efficacité. J’avais mis du temps, comme toujours, à faire le premier sortilège. J’en mettrais encore dans ce dédale de couloirs. L’objectif, en ces lieux, était simple tracer des limites d’âge au sol et les faire se déclencher au moment opportun. Ainsi, les élèves seraient alertés par le bruit. Mais ils seraient aussi incapables de traverser certains couloirs. Ils n’auraient le droit de se rendre que dans les endroits touchés pour lire les petits mots que je leur aviez laisséMon sourire s’élargit en y pensant. C’était drôle et diabolique et extrêmement bien pensé aussi. Et puis, pour une fois, j’avais l’occasion de défendre mes couleurs. De faire ce que je pensais juste sans forcément m’en prendre à tout le monde. Je ne faisais que passer mon message. Notre messageGrâce à plusieurs Licens Saeculum Nobstatis Condicionalis, je facilitais le chemin vers mes messages, j’empêchais l’autre vers le lieu principal de l’action. Pas d’obstacle pour ce que nous souhaitions condition, comme pour les autres, viendrait en temps et en heure voulue. Quant à la limite d’âge hahaha… Félix pensait que 87 ans était assez respectable. Après tout, personne dans ce château n’avait atteint cet âge canonique. Tout le monde, moi y compris, serait touché par cette ligne et c’était parfait. Pas de passe-droit pour que Felix était là , car je savais que je n’aurais pas pu réaliser autant de sortilèges conditionnels que je le devais cette nuit, sans lui. Avec lui je savais que je pouvais y arriver. Et même avec de la chance, je parvenais à les faire plus rapidement et plus proprement que jamais. Sans même me sentir épuisé. Pour le limites déposées, il était temps d’aller de l’avant[RP Unique. Les sortilèges décrits ne se déclencheront qu’au signal. Vous verrez bien quand il apparaîtra.] Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Château non-coopératifKyara Blanchet, le Sam 1 Avr - 1625 LA d'AlhenaLaissant Aaron comater sur le canapé et quittant l'appartement, Kyara avait remonté les couloirs du personnel de Poudlard et était tombée nez à nez avec Alhena Peverell, la professeure d'Histoire de la Magie. Baguette en main, elle semblait tout aussi intriguée que sa collègue. Après quelques paroles échangées, elles se rendirent bien compte que ni l'une, ni l'autre ne savait ce qui était en train de se passer, mais que c'était tout sauf quittèrent donc ensemble d'un pas rapide, les couloirs du personnel, pour ceux de l'école. Des cris résonnaient dans le château. Serrant fortement sa main sur sa baguette, la Fourchelang ne pouvait que se souvenir des dernières attaques et de la mort de Renata. Décidément, il se passait plus de choses à Poudlard qu'ailleurs dans le pays. Légèrement en avance sur Alhena, plusieurs choses se passèrent alors en même temps. Une série d'explosions, de cris se firent entendre tandis que la Française entra violemment en collision avec ... un mur. Se tapant le nez et le front, elle se plia en deux, main gauche sur le nez avant de tendre son bras droit vers sa collègue pour lui faire signe de s'arrêter. Se redressant, Kyara enleva sa main délicatement et constata qu'elle était en train de saigner. - La vache ça fait mal. Alors qu'elle aurait pu le faire, Alhena s'approcha de la Française pour la soigner. Le saignement s'arrêta alors, même si la douleur continuait de battre dans son nez et son front. Au moins, elle ne saloperait pas de trop le sol du couloir. Tendant la main devant elle, elle fit deux pas avant de se sentir une force invisible l'empêchant de Tu en penses quoi ?- Limite d'âge, assez grande pour nous empêcher de Super. On devrait pouvoir la faire tomber à deux en se de se concentrer quand ça faisait boum boum dans la tête, mais elles n'avaient pas le choix si elles voulaient continuer. Plus de doute, le château était bel et bien attaqué ! Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re Château non-coopératifAlhena Peverell, le Sam 1 Avr - 2241 Les cendres tombent, comme le monde comme le château Les feux de l'enfer sont sur le point de s'enclencher et tu vis dans l'ignoranceUne histoire se raconte sur des pages blanches, alors qu'une autre s'écrit à l'encre rouge sur du noir. Les bruits avaient attiré l'attention et tu étais sortie de la tanière. Puis une rencontre, un échange de mot et des questions sans réponse. La baguette tourne dans une main, tu laisses la première place à Blanchet. Tu restes en arrière, l'observes d'un oeil intrigué pour de temps en temps regarder derrière. L'air bourdonne de cris et d'une atmosphère malsaine. Le chaos se répand en rigolant et tu frissonnes en l'entendant. Tu aurais préféré être de son côté que d'être attaqué. Bourreau ou victime ?Le choix est vite faite quand c'est toiUn autre bruit, un mauvais sourire dans un mauvais moment. Une légère culpabilité et un Episkey lancé. La main s'aventure, le corps suit et bute sur une paroi, une vitre qui vous retient à l'extérieur. Pas de plein fouet, simplement pour tester, comprendre. Une réflexion, un savoir qu'on est allé chercher. Les méninges s'enclenchent. C'est certainement une...Limite d'âge, assez grande pour nous empêcher de faire tomber à deux, oui bonne idée. Certainement. Mais pourquoi est-elle ici ? On dirait que nos attaquants cherchent à nous tenir éloigné de quelque chose. De quoi, qu'est-ce que c'est ? Tu prends un temps de réflexion, est-ce les mangemorts ? Tu n'en as pas le coeur net, ça se pourrait bien. Et si c'est le cas, où est donc Evan ? Peut-être qu'il était à l'origine même de cette barrière, pour ne pas que tu t'en mêles. Mais tu n'avais aucune certitude, tu lui lanceras un Patronus après avoir annihiler cette limite. Hors de question que tu restes ici alors que des élèves pouvaient être en danger. Tu te reconcentres, tu penseras à lui ou même à ton frère ensuite. D'ailleurs il est où ce crétin ?Fermant les yeux quelques secondes, tu réfléchis vaguement au sort à lancer. Peut-être un peu compliqué dans une atmosphère comme celle-ci, mais vous n'aviez pas le temps de prendre un thé pour vous détendre. Il fallait faire tomber ce truc et aider les autres. Tu te tournes rapidement vers Kyara, tu expliques vite fait ce que vous devez faire, ne sachant pas si elle a eu le temps de se remémorer la chose. Puis,Encore des bruits Encore des crisTu fermes les yeux à nouveauJuste quelques secondes,c'est insupportable, le silence te manquetu grinces des dents et reviens dans la réalitéJ'espère que ça ira. Est-ce que tu es prête ? à plonger dans l'horreur Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Château non-coopératifKyara Blanchet, le Dim 2 Avr - 130 - Certainement. Mais pourquoi est-elle ici ? On dirait que nos attaquants cherchent à nous tenir éloigné de quelque chose. De quoi, qu'est-ce que c'est ? Bonne question. Pourquoi la limite d'âge était présente. Pour empêcher les sorciers de passer, c'était sur. Tant les élèves que les membres du personnel de Poudlard ou tout du moins, ceux dans la vingtaine. Curieuse, la professeure de Soins Aux Créatures Magiques se demanda à quel âge la limite avait été fixée. Soit les attaquants étaient des croûtons, soit il y avait un seul itinéraire, soit ils avaient emprunté un passage secret. Bref, plusieurs possibilités, peut-être qu'elles étaient toutes fausses d' mordillant la lèvre tandis qu'elle essayait de réfléchir, Kyara haussa les épaules. S'ils ne voulaient pas qu'ils passent, c'était qu'ils ne voulaient pas être dérangés. Il y avait eu des explosions, ils voulaient occuper tout le monde le temps de faire .... On ne savait quoi. Pour le moment, ça n'était pas vraiment le questionnement principal. Les deux professeures devaient faire tomber cette limite d'âge. Pas non seulement pour qu'elles puissent passer, mais pour permettre à quiconque de le élèves n'étaient pas assez puissants pour annuler le sortilège contrairement aux adultes. Pour peu qu'il y avait des élèves blessés, ils devaient être bloqués quelque part. S'il y avait bien quelque chose que la professeure de Soins Aux Créatures Magiques ne supportait pas, était les élèves morts. Il fallait à chaque fois remplir 8249255 parchemins expliquant la situation, les conséquences. Bref, de la paperasse encore et encore et encore. Alhena la tira alors de ses pensées lui expliquant la marche à suivre. La Fourchelang grimaça légèrement, enchaîner les contre sorts demandait pas mal d'énergie, elle espérait donc qu'elles ne devraient pas se battre. La professeure d'Histoire de la Magie était encore en bon état contrairement à Kyara. Foutue limite d'âge. - J'espère que ça ira. Est-ce que tu es prête ? - C'est pas comme si on avait le étaient encore seules, autant faire disparaître cela avant l'arrivée d'autres sorciers. Inspirant profondément, l'ancienne Serpentard commença en prononcer des contre sorts, très vite Alhena en fit de même. Cela n'allait pas céder si facilement, mais elles allaient réussir. Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re Château non-coopératifAlhena Peverell, le Dim 2 Avr - 1921 LA de KyaraC'était certain, vous n'aviez pas vraiment le choix. Ou alors si. Vous auriez pu faire vos imbuvables humaines, partir et prendre un thé dans un des appartements. Quoi que toi, peut-être que ça ne changerait pas grand chose. C'est pas comme si tu ressentais beaucoup de chose en vrai. Les sentiments, la question de culpabilité tu préférais les éviter. Mais les pulsions revenaient sans préavis. Tu te retrouvais face à un miroir, où tu devais accepter un certain nombre de chose, que tu évitais chaque jourLâche Soupirant, tu observes Kyara enchainait les sorts. Tu t'attèles à la tâche le plus vite possible. La langue claque, les muscles se contractent, la fatigue gagne en terrain. Mais vous ne vous arrêtez pas. L'école est attaquée et ce n'est certainement pas une foutue limite d'âge qui allait vous arrêter. Certains sorts rebondissent à cause d'une mauvaise prononciation, tes esprits s'enveloppe de brume. Tu tentes de réfléchir à ce qui se passe dans le château, où sont les autres. Comment va ton frère, tes disciples, le père de tes enfants. Un sourireEt le monde extérieur ? Est-il au courant de ce qui se trame dans le château ? Est-ce que ta famille s'inquiétait ? Tu ne devais pas échouer, pour euxCela commence sérieusement à m'énerve, nous n'avons pas que ça à faire. Cette foutue limite d'âge me tape sur les prenez une légère pause pour reprendre souffle. Puis d'un accord commun, vous vous remettez au travail. Cette chose allait finir par céder, vous n'étiez pas des incompétentes tout de même. Si certains y arrivent facilement, vous finirez par arriver au bout. Il n'y avait aucune raison. Vos matières n'étaient peut-être pas prédisposées à la chose, mais ça ne voulait rien dire. On trouvait dans les soins aux créatures magiques, des demandes de sortilèges bien puissantes. Et puis toi, tu n'étais pas qu'une bibliothèque sur pattes. Les entrainements de jeunesse et ceux que tu faisais encore aujourd'hui, te permettaient de faire pas mal de chose. On devrait essayer de se coordonner un peu mieux. Tentons de viser le même endroit, au même moment avec le même sortilège. Puis on recommence avec un autre sort. Cela donnera plus de puissance aux sortilèges et à l'impact, on créera une brèche peut-être. On avancera certainement plus vite après. Là , le temps presse, nous ne pouvons pas nous permettre de rester ici des heures. Lançant un sourire à ta collègue, vous vous mettez d'accord sur un sort bien précis et sur l'enchainement à suivre. Vos sorts se précipitent vers un même endroit, vous continuez ainsi pendant quelques dirait que quelque chose est en train de se produire. Cela est plutôt bon signe vous alliez bientôt pouvoir courir vers l'ailleurs Invité Re Château non-coopératifInvité, le Dim 2 Avr - 2114 Il y avait une drôle d'ambiance dans le château sans qu'elle ne puisse la saisir. Cela rampait partout tout en étant nulle couloirs étaient terriblement silencieux. Ce calme transit de froid la mettait mal à l'aise. Un faible clapotis résonnait sur les elle la sentit. Une odeur se dissipait ; elle ne capta que les relents. Elle ne sut définir mais cela la prit au où était passé tout le monde ?Eurydice se dirigeait vers les dortoirs pour récupérer un ouvrage. Son corps refusait de se détendre et elle en avait bien besoin. Maintenant en proie à des nausées ;une irritation grandissante lui chatouillait la peau à mesure qu'elle s' cri strident retentit enfin ainsi que des bruits de pas affolés, désordonnés. *Mais qu'est ce qu'il se passe bon sang ?*Elle eut soudain une envie malsaine de faire taire ce cri hystérique, de l'écraser. Cela n'aidait pas à calmer ses nerfs. Ses mains devinrent pensée lui mordillait l'oreille, jusqu'au sang. Elle la fit taire d'un fallait absolument qu'elle s'informe, qu'elle trouve des professeurs. Elle passait son temps, enfermée dans son monde et maintenant elle était prise au dépourvu. La situation lui échappait totalement. La brune poursuivit son chemin à une allure folle bifurquant à droite. Elle devait première chose qu'elle vit, c'est un visage familier et des autre. Ses lèvres s'ouvrirent mais les mots moururent sur celles-ci. Elle était fascinante habillée de son air deux professeures étaient en pleine discussion. Elle comprit quelques bribes. Pas ne put se résoudre à s'imposer même si des questions lui brûlaient les lèvres et fit finalement quelques pas dans la direction inverse dans une naïveté enfantine. L'hésitation l'avait tiraillée et elle avait fait le mauvais glissant. Souffle coupé. C'était une cacophonie infernale dans son crâne à coups de grésillements. Quelque chose se fracassa en elle, tandis que son crâne effleura le sol. De longues secondes tombèrent toutes ensemble. L'invisible mais concret mur, l'avait trahie sans une once de remords. La Serpentard resta dans l'obscurité encore un petit moment. Elle aurait voulu crier mais le silence se logea profondément dans sa gorge. Son humeur décida de la laisser en ressemblait à une étoile avec ses cheveux bruns étalés sur le sol. Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Château non-coopératifKyara Blanchet, le Dim 2 Avr - 2238 Les sorcières se lancèrent ensemble dans une sorte de chant, ou prières, difficile à savoir quand on voyait la scène de l'extérieur. En tout cas, elles enchaînèrent les contre sortilèges. Marquant une pause, elles reprirent leur souffle et Alhena commença à montrer son agacement. Compréhensible, mais ça n'était pas avec la colère qu'elles allaient réussir à faire tomber la limite. Maudissant le sorcier l'ayant mise en place et espérant qu'il allait mourir dans d'atroces souffrances, la professeure de Soins Aux Créatures Magiques souffla sur une mèche folle barrant son avait toujours mal d'ailleurs, il faudrait qu'elle se soigne d'ici la fin de la journée si elle ne voulait pas finir défigurer pour le restant de ses jours. Elle exagérait un peu, mais bon. Il ne fallait pas négliger les vieilles blessures, celle qu'elle avait eu dans le passé à la cheville ne cessait de lui rappeler à chaque fois qu'il On devrait essayer de se coordonner un peu mieux. Tentons de viser le même endroit, au même moment avec le même sortilège. Puis on recommence avec un autre sort. Cela donnera plus de puissance aux sortilèges et à l'impact, on créera une brèche peut-être. On avancera certainement plus vite après. Là , le temps presse, nous ne pouvons pas nous permettre de rester ici des plan. Elles se mirent alors ensemble au travail et cela sembla marcher, elles continuèrent sur cette lancée, quelques minutes plus tard, le mur céda. Arrêtant les formules, Kyara essuya la sueur qui perlait légèrement avant de s'approcher lentement en tendant la main. Ses doigts ne rencontrèrent rien d'autre que du vide. Un grand sourire sur les lèvres, elle se tourna vers Alhena avant que son regard ne se pose plus loin. Non loin d'un mur se trouvait ce qui semblait être une élève au les soucils, la Fourchelang la pointa alors du doigts à l'intention de sa collègue avant de prendre la Je vais continuer, je te laisse te charger d'elle ! On a fait du bon travail !Adressant un dernier sourire à la sorcière, Kyara pivota pour continuer sa route, déterminée, prête à en découdre ou se reprendre un mur en pleine tronche. Au choix. Re Château non-coopératifContenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Une grande partie de notre marche avec Dieu consiste à nous soumettre à Ses voies dans notre vie. Une vie abandonnée aux voies de Dieu est une vie fondée sur Sa Parole. Une vie fondée sur Sa Parole est une vie qui trouve refuge en Lui. Ce Dieu – Ses voies sont parfaites; la Parole de l’Eternel est éprouvée; Il est un bouclier pour tous ceux qui se confient en lui. – Psaumes 1830 J’aime ce chant que nous avons chanté Demeure avec Moi. » Parce que j’aime cette ligne aide des désespérés ». Et je suis toujours encouragé quand je me souviens que Dieu sait ce dont Il parle. Désespéré. Mais Il est Celui qui aide. Et quand tu es laissé à toi-même, tu ne peux même pas te tenir devant une servante, mais quand Dieu est avec toi, tu peux te tenir devant des milliers. Rien n’est impossible. Lisons le Psaumes 18, si vous voulez bien. Psaumes 18. Ce qui est remarquable à propos de ce psaume c’est que nous pouvons lire ce texte ici, ce que je vais en lire, ou nous pourrions le lire dans 2 Samuel 22, car ce psaume en entier est aussi cité dans 2 Samuel 22, ce qui est plutôt significatif quand vous considérez la grande importance de l’établissement de la Bible; qu’il se trouve dans ce psaume des choses qui sont si importantes qu’elles méritent d’être répétées deux fois. Et c’est certainement l’une d’entre elles. Nous lirons juste le verset 31. Les voies de Dieu sont parfaites, La Parole de l’Éternel est éprouvée; Il est un bouclier pour tous ceux qui se confient en Lui. » Prions. Seigneur, je pensais, plus tôt, à ces versets dans Amos, qui dit qu’il y avait une faim et une soif d’entendre la Parole de l’Éternel, et comment ils étaient errants, et chancelaient, et ils la cherchaient et ne la trouvaient jamais. Et combien ceci est presque la pire chose qui pourrait jamais arriver à un peuple, c’est que Dieu arrête de leur parler. Et donc, Dieu, nous en sommes conscients, ce soir. Seigneur, il ne dit pas qu’il y aurait une faim d’entendre la prédication, mais il est dit qu’il y aurait une famine de la Paroles de l’Éternel. Et donc, nous ne le prenons pas pour aquis, ce soir, Seigneur. Mais nous venons encore une fois sous une alliance qui a été établie sur de meilleures promesses par la route nouvelle et vivante inaugurée par le Seigneur Jésus Christ,, et nous Te demandons, Voudrais-Tu parler à Ton peuple? Merci, oh Dieu, ce soir nous avons un bon berger qui va devant nous et nous appelle par notre nom et nous conduit dans des pâturages, et alors Seigneur, vourdrais-Tu s’il Te plait ouvrir Ta Parole ce soir? Voudrais-Tu s’il Te plait sauver Ton peuple? Dieu, nous voulons que les saints soient encouragés. Amen. Ce verset a été très significatif pour moi. Certains d’entre vous savent peut-être que, il y a quelque temps, mon fils cadet a eu de graves problèmes de santé, et nous avons dû déménager à St. Louis et nous avons vécu à l’unité de soins intensifs en cardiologie pendant quelques mois, et dans la même période , notre maison s’effondrait aussi dans le vrai sens du mot. Au point qu’ils ont dû en fait venir et découper tous les mûrs en bas, et démolir le béton avec le marteau-piqueur juqu’aux fondations. Et nous étions plutôt découragés. Et nous luttions réellement avec tous ces problèmes. Je me souviens, en train de descendre un jour et voir le seul mur qu’ils ne pouvaient pas couper, pour des raisons structurels, c’était par là que toute l’électricité entrait et c’était un mur porteur, et c’était littéralement le seul des murs intérieurs qu’ils ne pouvaient pas découper. Et c’était aussi the seul mur en bas qui avait quelque chose dessus. Et ce qu’il y avait dessus était ce verset. Et je me souviens avoir regardé à travers cette zone sinistrée avec l’isolation qui pendait du toit et les fils électriques qui pendaient de partout, et avoir lu ces mots Les voies de Dieu sont parfaites. » Mais la réalité de ce verset est que ce n’est pas que pour les moments où la maison s’effondre et où un de vos enfants se meurt. Ce verset est aussi pour la vie de tous les jours. Il est pour les jours monotones des mères, comme quand vous avez fait la lessive, vous avez fait cinq lessives cette jour-là , et par un miracle digne de celui des pains et des poissons, il vous reste plus de lessive à faire que quand vous avez commencé. Et vous voulez lire le livre dont tout le monde parle sur Facebook, qui est si bien, mais ne pouvez pas, car les enfants pleurent encore. Ou, vous avez vraiment essayé d’améliorer vos finances et d’honorer le Seigneur avec, et vous avez commencé à faire des progrès, mais alors la voiture lâche. N’est-ce pas ? Ou vous avancez, vous êtes assis à votre bureau un banal mercredi et vous vous pensez, Je pensais que j’allais être missionnaire. » Ces versets sont pour les temps cataclysmiques, mais ils sont aussi pour les moments de votre vie où vous avez l’impression que votre vie est une énorme distraction des choses qui importent réellement. Et il semble que quelque chose est allé de travers. Et si vous pouviez seulement en arriver au moment où vous pourriez vous débarrasser de ces distractions qui vous bombardent, alors vous pourriez vraiment vivre la vie chrétienne. À travers toute cette confusion, ce verset vient à vous et dit, non, non, non. Les voies de Dieu sont parfaites. Elles sont parfaites. Des versets comme celui-ci éclaircissent le brouillard afin que nous puissions voir que les choses qui nous arrivent quotidiennement ne sont pas dues au hazard, ni le résultat d’un Dieu distant. Votre vie est façonnée par un Père aimant dont les voies sont parfaites. Elles sont parfaites. Et cette vérité vous ancrera. Elle vous ancrera quand vous passerez par des difficultés; quand une chose se produit que vous croyez qu’elle n’aurait pas dû arriver, ou que rien se s’est passé quand vous croyez que ça aurait dû. Comme quand vous êtes dans un boulot difficile, et jour après jour, vous travaillez et vous regardez et vous essayez de bouger, et pour quelque raison, les choses n’avancent pas. Ou votre célibat a duré beaucoup plus longtemps que vous ne l’auriez pensé. Et le calomniateur vient à vous, comme il l’a fait dans le Jardin, et il commence à vous souffler à l’oreille, et il commence à mettre ces pensées subtiles dans votre esprit, que peut-être que les voies de Dieu ne sont pas parfaites. Peut-être qu’il y a des choses que vous devriez avoir, que vous n’avez pas. Ou peut-être il y a des choses dans votre vie que vous avez, mais que vous ne devriez pas avoir. Et quelque part le long de cette réflexion, on s’est écarté. On s’est écarté, et Ses voies ne sont pas parfaites. Et vous sentez cette subtile désillusion, et vous sentez qu’une instabilité commence à s’insinuer dans votre vie. Et dans ces moments, vous avez besoin de cette vérité Les voies de Dieu sont parfaites. Elles le sont toujours. Et cela me ramène à mon premier point. Numéro un Une grande partie de votre marche avec Dieu consiste à vous soumettre à ses voies dans votre vie. Soumettez-vous à ses voies dans votre vie. Laissez-moi vous poser une question Au plus profond de vous-mêmes, y a-t-il un abandon heureux à la façon dont Dieu a guidé et est en train de guider votre vie ? Il peut y avoir des épreuves. Il peut y avoir de la difficulté. Il peut y avoir de la douleur. Et il peut y avoir des larmes, mais je vous pose la question, au plus profond de vous-mêmes, avez-vous cédé à ce que Dieu a fait et est en train de faire dans votre vie ? Parce qu’il y aura des moments où Dieu permettra la venue d’épreuves qui vous renverseront. Cela arrivera. Et elles peuvent être cataclysmiques ou être seulement la lente usure d’une épreuve quotidienne, qui est quelques fois le type d’épreuve le plus dur, parce que ces types d’épreuves sont difficiles parce qu’il n’y a aucune fin en vue. Vous ne savez pas quand elle va se terminer. Et jour après jour après jour, cette épreuve continue. Et vous commencez à sentir une instabilité. Et la tentation pendant ces moments c’est de permettre à ce mécontentement de s’insinuer, et vous commencez à mettre en doute la manière dont Dieu dirige votre vie et le monde autour de vous. Et c’est exactement ce qui s’est passé avec Job. Job était un homme juste, et il ne reniait absolument pas Dieu. Mais il y avait aussi cette subtile instabilité qui est entrée. Ce genre d’intransigeance. Ce désir que Dieu lui rende compte de la manière dont Il dirige le monde. Et vous voyez ceci… Je vais vous lire ce verset. Job 133 Il dit ceci Mais je veux parler au Tout-Puissant, Je veux plaider ma cause devant Dieu; » L’insinuation ici c’est que, si je pouvais seulement parler à Dieu, je pourrais l’informer de certaines choses et Il apprendrait quelque chose. Si je pouvais seulement expliquer comment les choses fonctionnent maintenant et comment j’ai agi et les choses qui me sont arrivées, nous pourrions clarifier les choses et Dieu pourrait rectifier les choses. C’est ce qui est sous-entendu ici. Les épreuves peuvent avoir une manière de nous amener à surestimer notre aptitude à comprendre nos circonstances. Et c’est ce qui est arrivé à Job. Et donc Dieu lui a répondu. Il s’oppose presque à lui. Dans Job 38, Il dit ceci L’Éternel répondit à Job du milieu de la tempête et dit Qui est celui qui obscurcit mes desseins Par des discours sans intelligence ? Ceins tes reins comme un vaillant homme; Je t’interrogerai, et tu M’instruiras. » Laissez-moi vous poser une question Comment la réponse de Dieu à Job vous frappe-t-elle? Je veux dire, avez-vous déjà eu la pensée, surtout si vous lisez les quelques premiers chapitres, que Dieu est un peu sévère ici? Le gars a tout perdu. Croyez-vous que Dieu est sévère sans raison ici ? Laissez-moi vous raconter une histoire. Quand mon fils aîné était beaucoup plus jeune et apprenait à nager, ça n’allait pas bien, et puis un jour, cela a commencé à aller un petit peu mieux. Et il pouvait nager un patit peu. Mais la capacité à nager un petit peu lui a donné tellement de confiance, qu’il était complètement convaincu, que c’est le moment pour le grand bassin. Comme, c’est là où nous allons maintenant. Nous allons au grand bassin. Et j’avais un problème très sérieux parce que preque à chaque fois que je tournais le dos, je le voyais commencer à se glisser là -bas vers le bord pour sauter dans le grand bassin, jusqu’au moment où je commençais vraiment à être inquiet, car je savais que s’il sautait dans le grand bassin, il allait se noyer. Et je pouvais dire qu’il y avait cette subtile pensée que jétais en train de lui retirer quelque chose de bon. Donc qu’est-ce que j’ai fait? Je l’ai pris. Je l’ai fait avancer dans l’eau jusqu’à ce qu’il nait plus pied, et l’ai laissé tomber. Et je l’ai laissé se débattre juste assez longtemps pour qu’il comprenne qu’il était dans une situation où compter sur sa propre intelligence lui coûterait la vie. Et c’est ce qui est en jeu ici. C’est ce qui est en jeu ici avec Job. Et c’est ce qui est en jeu quand vous sentez que quelque chose ne va pas dans ma vie mais qui devrait aller bien. Une pensée subtile que Dieu a raté une occasion. Il y a quelque chose que Dieu a décidé dans ma vie qui devrait être différente. Vous êtes dans une situation où vous avez une mauvaise compréhension, et cela vous coûtera la vie. Et donc qu’est-ce que le Père aimant fait à Job ? Il continue à l’interroger Où étais-tu quand je fondais la terre ? Dis-le, si tu as de l’intelligence. Qui en a fixé les dimensions, le sais-tu ? Ou qui a étendu sur elle le cordeau ? Sur quoi ses bases sont-elles appuyées ? Ou qui en a posé la pierre angulaire, Alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse, Et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ? » Et quelle est la réponse ? Pas moi. Pas moi. Je n’étais pas là quand, dans Sa sagesse, Dieu créa le monde. Je n’étais pas là quand la pierre angulaire a été posée et que toutes ces choses se sont produites. Je suis insuffisant. Pas moi, Dieu. Pas moi. Écoutez quelques autres extraits. Qui a fermé la mer avec des portes, Quand elle s’élança du sein maternel; Quand je fis de la nuée son vêtement, Et de l’obscurité ses langes; Quand Je lui imposai Ma loi, Et que Je lui mis des barrières et des portes; Quand Je dis Tu viendras jusqu’ici, tu n’iras pas au-delà ; Ici s’arrêtera l’orgueil de tes flots ? Depuis que tu existes, as-tu commandé au matin ? As-tu montré sa place à l’aurore, As-tu pénétré jusqu’aux sources de la mer ? T’es-tu promené dans les profondeurs de l’abîme ? Les portes de la mort t’ont-elles été ouvertes ? As-tu vu les portes de l’ombre de la mort ? As-tu embrassé du regard l’étendue de la terre ? Parle, si tu sais toutes ces choses. » Et quelle est la réponse ? Pas moi. Pas moi. Je ne peux parler à l’océan. Je n’ai jamais commandé au matin. Je ne me suis jamais promené dans les profondeurs de l’abîme. Je n’ai pas vu les portes de la mort. Et moi, dans ma propre intelligence, je suis insuffisant pour interpréter mes propres circonstances. Pas moi. La seule chose que vous avez, bien-aimés, c’est un Berger. Son nom est Jésus. Et Il peut parler aux vagues. Et Il était là quand les fondations du monde ont été posées. Et Il s’est promené dans les profondeurs de l’abîme. Et Il a vu les portes de la mort. Et Il est suffisant pour diriger vos jours. Vous avez un Berger. Vous n’avez pas votre propre compréhension, mais vous avez un Berger, et si vous vous soumettez à Lui, Il vous guidera. Il vous guidera. Vous devez fonder votre vie sur cette vérité solide en interprétant tout ce qui vous arrive à travers qui Il est et qui Il s’est révélé être. Et cel m’amène à mon deuxième point, qui découle de notre texte. Numéro un Une grande partie de la vie chrétienne consiste à nous soumettre aux voies de Dieu. Numéro deux Une vie abandonnée aux voies de Dieu est une vie fondée sur sa Parole. C’est l’insinuation de notre texte. Il dit ceci La Parole de l’Éternel est éprouvée; » Que fait Dieu ? Que Dieu fait dans vos circonstances ? Pourquoi amène-t-Il ces épreuves ? Pourquoi laisse-t–Il ces choses arriver que nous nous ne comprenons pas ? Il vous éloigne de vos propres sentiments, vous empêche d’interpréter le monde à travers votre point de vue étroit, pour arriver à quelque chose de solide comme Sa Parole. Nous entendons cette même idée surgir, je vais la lire dans le Proverbe 30. Écoutez ceci Certes, je suis plus stupide que personne, Et je n’ai pas l’intelligence d’un homme; » Je me suis dit C’est la version ESV », je devrais probablement aller vérifier dans la version NASB ». » Parce que ça ne semble pas correct. J’ai lu la version NASB » La même chose. C’est ce que la Bible dit. Vous ne trouverez probablement pas cela dans le livre Chicken Soup for the Soul ». Certes, je suis plus stupide que personne, Et je n’ai pas l’intelligence d’un homme; Je n’ai pas appris la sagesse, Et je ne connais pas la science des saints. » Écoutez la façon dont c’est dit Qui est monté aux cieux, et qui en est descendu ? Qui a recueilli le vent dans ses mains ? Qui a serré les eaux dans son vêtement ? Qui a fait paraître les extrémités de la terre ? Quel est son nom, et quel est le nom de son Fils ? Le sais-tu ? » Maintenant, écoutez notre texte. La parole de l’Eternel est éprouvée; Il est un bouclier pour tous ceux qui se confient en Lui. » Que fait Dieu ? Dieu vous éloigne du fardeau de votre propre compréhension pour en arriver à Sa Parole. Et j’adore ceci, le langage qu’il utilise ici. Il ne dit pas seulement La Parole de l’Eternel ». Il dit La Parole de l’Eternel est éprouvée; » Elle est éprouvée. Personne ne veut traverser ce pont qui semble fragile, mais nous n’aimons pas non plus traverser des ponts tout neufs. Notre préférence serait de traverser un pont solide sur lequel il y a quelques empreintes. Et pourquoi ? Nous aimerions voir que’il fonctionne. J’aimerai savoir qu’il fonctionne. J’en ai d’ailleurs fait l’expérience avec ma petite fille après que nous ayons suivi des leçons de natation avec mon fils. J’essayais de la faire sauter du bord de la piscine vers moi, et nous comptions un, deux, trois, quatre, cinq, six, …» Nous avons compté longtemps. Elle n’avait toujours pas sauté. Et puis finalement, elle m’a regardé et dit Peut-il le faire en premier ? » Que demandait-elle ? Elle était comme, j’aimerais voir que ça fonctionne avant de le faire. Elle veut voir que cela a été éprouvé. Pouvons-nous juste prendre un moment, pour remercier Dieu, bien-aimés, Il vous a donné une Parole éprouvée. Dans son autorité et dans Sa souveraineté et dans Sa sainteté, Il ne doit à aucun homme une explication. Dieu n’a besoin d’aucune autorité en dehors de Sa Parole. Il n’a pas besoin de vous montrer que ça fonctionne pour que vous vous soumettiez à Lui. Mais dans Sa miséricorde, et dans Sa condescendance, Il vous a donné une Parole éprouvée. Quand la Parole de l’Eternel a-t-elle été éprouvée ? Et bien, Elle a été éprouvée dans la vie d’Abraham. Dieu lui a dit, tu deviendras le père d’une multitude. ». mais qu’arrive-t-il ? Il se met à vieillir. Puis les années passent et il vieillit, et Sara vieillit, et il semble que le Parole de Dieu va échouer, mais qu’arrive-t-il ? Ils ont un garçon tout comme Dieu l’avait dit. La Parole de l’Eternel a été éprouvée. Et donc, plus tard dans sa vie, quand Dieu dit, prends son fils unique, ton fils bien-aimé, et va le sacrifier, que fait Abraham ? Il se lève tôt et il monte tranquillement sur cette montagne. Comment fait-il ça ? Comment peut-il faire abstraction de ses circonstances ? Comment peut-il passer à travers ce qui vous aurait cloué sur place selon votre propre compréhension, et en étant remué et en luttane réellement et disant, comment peut-il se lever tôt et être aussi assidu pour faire ceci ? » Pourquoi ? Parce qu’il a une Parole éprouvée. J’ai vu Dieu le faire avant. Ses promesses sont certaines. Quand la Parole de l’Eternel a-t-elle été éprouvée ? Elle l’a été dans la vie de Joseph. Dieu lui a dit, ta famille va se prosterner devant toi. Et ensuite, qu’arrive-t-il ? Sa famille se rassemble et dit louer l’Eternel, nous allons nous prosterner. » Ce n’est pas qui ce qui est arrivé. Le chaos se déchaïne et il semble que plus il essaie de poursuivre la justice, plus il s’éloigne de la Parole de l’Eternel. Alors, à la fin de cette histoire, là , il s’asseoit dans un donjon, et complètement oublié. Et on dirait que les voies de Dieu ne sont pas parfaites et que Sa Parole n’est pas éprouvée. Mais qu’arrive-t-il ? Dieu orchestre une situation que persone d’autre dans tout le royaume n’est capable de résoudre, sauf lui. Et avant qu’il ne le sache, sa famille est rassemblée autour de lui en train de se prosterner. La Parole de l’Eternel est éprouvée. Quand la Parole de l’Eternel a-t-elle été éprouvée ? Elle a été éprouvée dans la vie de Josué de la sorte qu’à la fin de sa vie, il pouvait dire ceci Voici, je m’en vais maintenant par le chemin de toute la terre. Reconnaissez de tout votre coeur et de toute votre âme qu’aucune de toutes les bonnes paroles prononcées sur vous par l’Éternel, votre Dieu, n’est restée sans effet; toutes se sont accomplies pour vous, aucune n’est restée sans effet.» Vous avez ce vieil homme qui se tient ici, à la fin de sa vie, et que dit-il ? Il dit que les voies de l’Eternel sont parfaites et que Pa Parole est éprouvée. Sa Parole est éprouvée. Donc la question ce soir est, vous appuyez-vous sur votre propre compréhension ? Et c’est comme ça que vous interprétez vos circonstances ? Les choses qui vous arrivent qui n’auraient peut-être pas dû arriver selon vous ou les choses qui ne sont pas arrivées, et que vous croyez qu’elles auraient dû. Ou fondez-vous votre vie sur Sa Parole ? C’est qui Dieu est. Alors que mes circonstances et mes pensées et mes sentiments militent contre ça autant qu’elles le veulent, je traverse tout le problème, je traverse le brouillard et je m’accroche à Sa promesse. C’est ainsi que Dieu s’est révélé à moi. Même si tout semble avoir échoué. Dieu est véritable. Et tout homme est un menteur. Sa Parole est éprouvée. Finalement, numéro trois Une vie fondée sur Sa Parole est une vie avec un refuge. Il dit ceci Il est un bouclier pour ceux qui cherchent en Lui un refuge. » Il est un bouclier. La partie la plus difficile de l’épreuve n’est habituellement pas l’épreuve elle-même, mais c’est ce qui se passe dans vore cœur pendant l’épreuve. C’est ce laps de temps quand vous essayez encore de découvrir, Vais-je me soumettre à Dieu dans cette situation ? Quelque chose arrive que je ne peux pas comprendre, et il semble que quelque chose ait mal tourné ici. Et vous luttez dans votre cœur. Ces moments où vous n’êtes pas encore stables et vous n’êtes pas encore soumis, et durant ces moments, vous n’avez pas de bouclier. Et vous vous faites frapper. L’incrédulité s’insinue. Le mécontentement s’insinue. L’amertume commence à s’insinuer. Et vous sentez votre âme qui remue. Mais quel est l’appel de Dieu pour vous ce soir ? C’est de venir sous Mon bouclier. Ne vivez plus sous le fardeau de votre propre compréhension et n essayant de découvrir ce qui est le mieux pour votre vie et si les choses se sont produites comme elles auraient dû. Faites confiance à Dieu. Ses voies sont parfaites. Auparavant, je m’occupais d’un ministère improvisé auprès des sans-abris là -bas à Birmingham, et j’aidai les sans-abris et faisais différentes choses, et ensuite j’essayais de les amener dans un abri. Et j’étais toujours stupéfait du nombre d’entre-eux qui entraient dans un refuge, et, avant-même que je sois retourné à ma voiture, ils étaient déjà sortis du refuge. Et la raison fondamentale était qu’ils ne voulaient pas se soumettre aux règles de ceux qui essayaient de prendre soin d’eux. Leur désir d’être indépendants était plus grand que leur désir de se soumettre aux gens qui les aimaient. Et cela peut se produire dans la vie chrétienne. Et donc quel est l’appel ? L’appel est, viens trouver refuge dans le Seigneur. Viens trouver refuge dans le Seigneur. Et fait-Lui confiance. Prions. Dieu, nous Te remercions tellement ce soir de T’avoir comme refuge, et de ce que Ta Parole est éprouvée et Tes voies sont parfaites. Et donc Seigneur, aide-nous ce soir à fléchir le genou dans la foi. Nous Te bénissons, Seigneur. Amen. »
meme si les oceans se dechaine paroles