Laville de Loos recrute un Chargé de mission prévention de la délinquance (F/H) Publié sur le site IREV - Centre de ressources politique de la ville (https://irev.fr) Au sein du pôle 23février 2018. Premier plan exclusivement dédié à la prévention de la radicalisation, le PNPR est un plan interministériel (mobilisation de 20 départements ministériels) qui assure une prévention de la radicalisation de l’amont à l’aval, soutenue par une large mobilisation (État, collectivités territoriales et société civile Codede la sécurité intérieure > Chapitre II : Prévention de la délinquance (Articles D132-1 à D132-16) Javascript est desactivé dans votre navigateur. Aller au contenu domainede la prévention de la délinquance mais qui peuvent favoriser une action efficace à ce titre. L’association des équipes de prévention spécialisée, lorsqu’elles existent localement, est essentielle dans la mise en œuvre du programme d’actions à l’intention des jeunes exposés à la délinquance. Le développement de postes de travail d’intérêt général au sein des Ilassure le pilotage et le suivi du Schéma Métropolitain de Sécurité et de Prévention de la Délinquance. Il est présidé par Jean-Luc Moudenc, Président de Toulouse Métropole. L'élue référente est Julie Escudier, Vice-Présidente en charge de la cohésion sociale. Le CMSPD est composé de membres de droit (Préfet de la Haute Ilassure le pilotage et le suivi du Schéma Métropolitain de Sécurité et de Prévention de la Délinquance. Il est présidé par Jean-Luc Moudenc, Président de Toulouse Métropole. L'élue référente est Julie Escudier, Vice-Présidente en charge de la cohésion sociale. Chargéee) de mission de prévention Synthèse de l'offre Employeur : Communauté de Communes Provence Verdon - VARAGES Avenue de la foux 83670Varages A 24 minutes de missionprincipale :rattaché à la direction contrat opérationnel de prévention et de sécurité (cops), sous l’autoité du directeur, vous avez pour mission de mette en œuve les politiques locales de OFFRED’EMPLOI CHARGE DE MISSION PREVENTION SECURITE Conseil Intercommunal de Sécurité et de Prévention de la Délinquance (H/F) Date de publication : 12/05/2022 Type de DUCOMITÉ INTERMINISTÉRIEL DE PRÉVENTION DE LA DÉLINQUANCE AVANT-PROPOS Afin de faciliter la mise en œuvre de la stratégie nationale de prévention de la délinquance 2013-2017, un dispositif de référencement des bonnes pratiques a été mis en place. Il s’agit, en s’inspirant d’expériences locales réussies, de proposer aux 8nrunPH. Informations générales Categorie de l'offre Standard Date de fin de publication 30/12/2022 Emploi ouvert aux titulaires et/ou aux contractuels Ouvert aux fonctionnaires et/ou aux contractuels Description du poste Versant Fonction publique d'Etat Catégorie Catégorie B profession intermédiaire Nature de l'emploi Emploi ouvert aux fonctionnaires et/ou contractuels Domaine et métier Ressources Humaines - Gestionnaire - Coordinatrice / Gestionnaire-coordinateur de dispositifs d’action sociale Type de poste Administratif Statut du poste Vacant Intitulé du poste Gestionnaire des dispositifs sociaux Description du poste Groupe RIFSEEP 2 Vos activités principales - Mise en œuvre des dispositifs d’action sociale ministériels et interministériels - Suivi, gestion et secrétariat des instances de la CLAS des personnels du Ministère de l’Intérieur - Suivi et gestion des crédits d’action sociale, remontées budgétaires - Diffusion des informations en matière d’action sociales - Coordination des interventions dans le cadre des logements réservés aux fonctionnaires de l’État, liaison avec les bailleurs sociaux - Organisation de l’Arbre de Noël des personnels du Ministère de l’Intérieur - Correspondant de la SRIAS - Travail collaboratif avec les CLAS des DDIs et toutes les associations ministérielles d’action sociale - Suivi du dossier RIA commission de surveillance et restauration collective - Secrétariat du CHSCT de la Préfecture et constitution des dossiers - Suivi de la médecine de prévention - Dans le cadre de ses missions, l'agent met en œuvre les engagements du référentiel Qual-e-pref. Votre environnement professionnel Activités du service Le SGCD assure la gestion des fonctions et moyens mutualisés en matière budgétaire, d’achat public, d’affaires immobilières, de système d’information et de communication, de logistique, de ressources humaines, de relation avec la médecine de prévention et de mise en œuvre des politiques d’action sociale au bénéfice des agents des DDIs et de la préfecture. Composition et effectifs du service 43 agents dont 9 au BRH Liaisons hiérarchiques La cheffe du Bureau des Ressources Humaines La directrice du SGCD Liaisons fonctionnelles Ministères d’appartenance des agents MI, MAA, MTE,MSO Agents de services de police, personnel civil de gendarmerie Assistante sociale Médecine de prévention, assistant et conseiller de prévention Gérant du restaurant inter-administratif Prestataires de l’arbre de Noël Bailleurs sociaux Préfecture de région Tous les services de la préfecture, des sous-préfectures et des DDIs Conditions particulières d'exercice Spécificités du poste / Contraintes / Sujétions 20 points de NBI Qualités particulières attendues sur le poste discrétion, autonomie, travail en réseau Qui contacter ? Le bureau des ressources humaines sgc-rh Liste des pièces requises pour déposer une candidature Voir le formulaire unique de demande de mobilité/recrutement disponible à ces adresses Personnels du ministère de l'Intérieur Personnels externes Descriptif du profil recherché Connaissances techniques Avoir des compétences juridiques niveau pratique requis Avoir des compétences budgétaires et comptables niveau pratique requis Avoir des compétences en informatique - bureautique niveau pratique requis Avoir des compétences organisationnelles niveau pratique requis Connaître l'environnement professionnel niveau pratique requis Savoir-faire Savoir travailler en équipe niveau pratique requis Savoir s'organiser niveau maîtrise requis Savoir appliquer la réglementation niveau pratique requis Savoir rédiger niveau maîtrise requis Avoir l'esprit de synthèse niveau pratique requis Savoir analyser niveau pratique requis Savoir-être avoir le sens des relations humaines niveau maîtrise requis savoir s'adapter niveau maîtrise requis savoir s'exprimer oralement niveau maîtrise requis Durée attendue sur le poste 3 ans Temps plein Oui Informations complémentaires Informations complémentaires Code fiche de l’emploi type 1 RMFP Gestionnaire des dispositifs sociaux FP2GRH08 Code fiche de l’emploi type 1 REMI GRH009A Fondement juridique du recrutement 2° de l'article L332-2 du code général de la fonction publique Télétravail possible Oui Management Non Localisation du poste Localisation du poste Europe, France, Bourgogne-Franche-Comté, Nièvre 58 Lieu d'affectation Préfecture de la Nièvre - 40 rue de la Préfecture, 58000 Nevers Lieu d'affectation sans géolocalisation Nevers Demandeur Date de vacance de l'emploi 01/03/2022 Personne à contacter mail Le code de la sécurité intérieure confie au maire des missions de prévention de la délinquance sur le territoire de sa commune. Dans ce cadre, les communes mettent parfois en œuvre des dispositifs de suivi de situations individuelles. Ces traitements de données personnelles peuvent porter sur des données sensibles ou concerner des publics vulnérables. La CNIL, qui a réalisé des contrôles sur cette thématique, rappelle les principaux points de que la prévention de la délinquance par les mairies ? Les mairies peuvent mettre en œuvre des dispositifs de prévention de la délinquance, au titre des dispositions des articles L. 132-4 et suivants du code de la sécurité intérieure. Certaines communes coordonnent ainsi les actions de prévention de la délinquance et mènent des actions collectives à destination de groupes de personnes sur des thèmes déterminés réunions d’information sur les violences faites aux femmes, sur la déscolarisation…. Elles peuvent également décider de mettre en place des groupes de travail chargés d’examiner des situations individuelles signalées par divers acteurs établissements scolaires, bailleurs sociaux, services de police municipale et nationale afin de déterminer si des actions de suivi individualisé doivent être mises en œuvre. Dans le cadre de l’examen d’une situation individuelle, les mairies sont amenées à traiter des données personnelles. Le plus souvent, ces traitements de données sont réalisés dans le cadre de dispositifs de prévention de la délinquance des mineurs primodélinquants ou exposés à la délinquance, mais ils peuvent également concerner d’autres catégories de personnes femmes victimes de violences, mineurs déscolarisés ou auteurs d’incivilités, etc.. Quel régime juridique ? Avant l’entrée en vigueur du RGPD, les traitements de données personnelles mis en œuvre dans le cadre de la prévention de la délinquance par les mairies étaient encadrés par une autorisation unique AU-38. Depuis l’entrée en vigueur du RGPD, le régime de l’autorisation unique ne s’applique plus aux traitements de données mis en œuvre par les mairies dans le cadre de leurs missions de prévention de la délinquance. Elle reste néanmoins un cadre de référence utile sur lequel les mairies peuvent s’appuyer pour vérifier la conformité de leurs traitements. Quels sont les 5 manquements les plus souvent rencontrés et les bonnes pratiques à adopter ? Une série de contrôles réalisés récemment par la CNIL a permis de mettre en évidence la récurrence de certains manquements. La CNIL souhaite donc rappeler les mauvaises pratiques détectées en précisant les mesures pouvant être mises en œuvre pour les éviter. Une collecte systématique des données sensibles ou des données relatives à des infractions, condamnations et mesures de sûreté. Or, ces données ne doivent en principe être collectées que lorsqu’elles sont indispensables pour le suivi de la personne concernée. Par exemple, pour l’examen de la situation d’un mineur condamné à effectuer des travaux d’intérêt général, le motif de la condamnation n’est pas nécessaire à la mise en œuvre du suivi. Les bonnes pratiques à adopter S’assurer de la stricte nécessité de collecter chaque catégorie de donnée au vu des objectifs du suivi. L’insertion des champs motif du signalement » ou des zones de commentaire libre dans les fiches de suivi sans en contrôler strictement le contenu. L’usage de champs libres favorise la collecte excessive de données. Par exemple, il a été constaté que les champs motifs du signalement » entraînent parfois l’insertion de données issues de fichiers de police comme le Traitement d’antécédents judiciaires TAJ alors que la communication de tels éléments est limitée, dans les textes, à certaines personnes. La CNIL a également constaté, dans certains cas, des commentaires purement subjectifs ou inappropriés. Les bonnes pratiques à adopter Privilégier les fiches individuelles de suivi aux fichiers collectifs de suivi du type tableur, en déterminant un format unique de fiche individuelle de suivi. Ces fiches de suivi doivent être conçues pour minimiser la collecte d’information. Le recours à des cases à cocher avec une liste de choix prédéfinis concernant l’origine du signalement police nationale, bailleurs sociaux, établissement scolaire… plutôt que des zones de commentaire libre est une bonne pratique à adopter. Lorsque le recours à des zones de commentaire libre est nécessaire, le contenu de ces champs doit être strictement contrôlé, avec rappel régulier des consignes aux personnes chargées de les remplir. Une conservation des fiches individuelles ou collectives de suivi sans limite de temps, alors que les données ne doivent être conservées que le temps strictement nécessaire au suivi de la personne concernée. Les bonnes pratiques à adopter Définir des durées de conservation strictes, le cas échéant avec des mécanismes de purge automatique. La gestion des durées de conservation peut être facilitée en proscrivant le recours à des fichiers collectif de suivi, les fiches individuelles de suivi permettant d’avoir une politique fine de gestion des durées de conservation en indiquant dans ces fiches les dates de fin de suivi. Après la fin du suivi, les données peuvent être archivées avec des restrictions d’accès, pendant 3 ans maximum. Une absence d’information des personnes concernées du traitement de leurs données. Or, les personnes doivent être informées du traitement de leurs données aux fins de prévention de la délinquance. Les bonnes pratiques à adopter Prévoir un double niveau d’information des personnes, collective et individualisée. Le site web de la mairie peut ainsi intégrer une rubrique spécifique aux dispositifs de prévention de la délinquance qui informe de façon collective les administrés de l’existence de traitements de données à caractère personnel aux fins de prévention de la délinquance. Par ailleurs, la mairie doit également informer de manière individuelle les personnes concernées lorsque leurs données font l’objet d’un traitement. Cette information individuelle doit intervenir avant la réunion d’examen de la situation de la personne. Une information au moment de la mise en place du suivi social est en effet considérée comme tardive. De manière pratique, il s’agit d’un courrier adressé à la personne concernée et, le cas échéant, à son représentant légal. Un défaut de sécurité pour l’accès aux données. Or, compte tenu du caractère particulièrement sensible des données traitées et des publics concernés, l’accès aux données doit être strictement limité aux personnes légitimes à en connaître du fait de leurs fonctions. Les bonnes pratiques à adopter Définir des politiques de sécurité destinées à garantir la confidentialité des données. Le maire doit désigner les personnes habilitées à accéder aux données et mettre en œuvre des protections physiques armoires sécurisées par exemple et logiques restrictions d’accès informatique adéquates. L’échange des informations entre les différents acteurs intervenant dans l’examen des situations individuelles doit également être sécurisé, en chiffrant ou en protégeant par mot de passe les fichiers échangés. Enfin, les mairies doivent mettre en œuvre des mesures de traçabilité des accès aux données, afin de détecter les accès illégitimes. Travaux préparatoires Sénat - 1ère lectureDossier en ligne sur le site du Sénat Projet de loi relatif à la prévention de la délinquance, n° 433, déposé le 28 juin 2006 et renvoyé à la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du règlement et d'administration générale La commission des affaires sociales s'est saisie pour avis Travaux des commissions - commission des lois La Commission saisie au fond a nommé M. Jean-René Lecerf rapporteur le 4 juillet 2006 Rapport n° 476 déposé le 30 juin 2006 par M. Jean-René Lecerf - commission des affaires sociales La Commission saisie pour avis a nommé M. Nicolas About rapporteur pour avis le 5 juillet 2006 Avis n° 477 déposé le 30 juin 2006 par M. Nicolas About Discussion en séance publique au cours des séances des mercredi 13 , jeudi 14 , mardi 19 et jeudi 21 septembre 2006 Projet de loi relatif à la prévention de la délinquance, adopté en 1ère lecture par le Sénat le 21 septembre 2006 , TA n° 134 Assemblée nationale - 1ère lecture Projet de loi , adopté par le Sénat, relatif à la prévention de la délinquance, n° 3338, déposé le 22 septembre 2006 et renvoyé à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la république Amendements- Amendements déposés sur le texte n° 3338- Recherche multicritère La commission des affaires culturelles, familiales et sociales s'est saisie pour avis sur les articles 5 à 9, 17 à 24 et 27 à 29 Travaux des commissions - commission des lois La Commission saisie au fond a nommé M. Philippe Houillon rapporteur le 4 octobre 2006 Audition conjointe de MM. Nicolas Sarkozy, ministre d’État, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, Pascal Clément, garde des Sceaux, ministre de la justice, sur le projet de loi relatif à la prévention de la délinquance au cours de la réunion du 8 novembre 2006 à 16 heures 15Examen du texte au cours de la réunion du 15 novembre 2006 à 10 heures Suite de l'examen du texte au cours de la réunion du 15 novembre 2006 à 14 heures 45Examen des amendements article 88 au cours de la réunion du 21 novembre 2006 à 14 heures Rapport n° 3436 déposé le 15 novembre 2006 mis en ligne le 18 novembre 2006 à 2 heures par M. Philippe Houillon - commission des affaires culturelles, sur les articles 5 à 9, 17 à 24 et 27 à 29 La Commission saisie pour avis a nommé M. Jean-Michel Dubernard rapporteur pour avis le 25 octobre 2006 Examen de l'avis au cours de la réunion du 14 novembre 2006 à 16 heures Avis n° 3434 déposé le 14 novembre 2006 par M. Jean-Michel Dubernard Discussion en séance publique1ère séance du mardi 21 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 2e séance du mardi 21 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 1ère séance du mercredi 22 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 2e séance du mercredi 22 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 2e séance du jeudi 23 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 3e séance du jeudi 23 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 1ère séance du vendredi 24 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 2e séance du vendredi 24 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 1ère séance du lundi 27 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 2e séance du lundi 27 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 1ère séance du mardi 28 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 2e séance du mardi 28 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 2e séance du mercredi 29 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 3e séance du mercredi 29 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 1ère séance du jeudi 30 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 2e séance du jeudi 30 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 3e séance du jeudi 30 novembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 1ère séance du vendredi 1er décembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral 2e séance du mardi 5 décembre 2006 compte rendu analytique - compte rendu intégral Scrutin public n° 1061 sur l'ensemble du projet de loi, adopté par le Sénat, relatif à la prévention de la délinquance au cours de la 2e séance du mardi 5 décembre 2006Adopté Projet de loi relatif à la prévention de la délinquance, modifié en 1ère lecture par l'Assemblée nationale le 5 décembre 2006 , TA n° 623 Sénat - 2e lectureDossier en ligne sur le site du Sénat Projet de loi , modifié par l'Assemblée nationale, relatif à la prévention de la délinquance, n° 102, déposé le 6 décembre 2006 et renvoyé à la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du règlement et d'administration générale Travaux des commissions - commission des lois Rapport n° 132 déposé le 20 décembre 2006 par M. Jean-René Lecerf Discussion en séance publique au cours des séances des mardi 9 , mercredi 10 et jeudi 11 janvier 2007 Projet de loi relatif à la prévention de la délinquance, adopté avec modifications en 2e lecture par le Sénat le 11 janvier 2007 , TA n° 46 Assemblée nationale - 2e lecture Projet de loi , adopté avec modification, par le Sénat, en 2e lecture, relatif à la prévention de la délinquance, n° 3567, déposé le 11 janvier 2007 et renvoyé à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la république Amendements- Amendements déposés sur le texte n° 3567- Recherche multicritère Travaux des commissions - commission des lois Examen du texte au cours de la réunion du 7 février 2007 à 10 heures Examen des amendements art. 88 au cours de la réunion du 13 février 2007 à 14 heures 30 Rapport n° 3674 déposé le 7 février 2007 mis en ligne le 8 février 2007 à 18 heures 45 par M. Philippe Houillon Discussion en séance publique Projet de loi relatif à la prévention de la délinquance, modifié en 2e lecture par l'Assemblée nationale le 13 février 2007 , TA n° 680 Commission Mixte Paritaire Accord Projet de loi , modifié par l'Assemblée nationale en 2e lecture, relatif à la prévention de la délinquance, n° 240, déposé le 14 février 2007 Convocation d'une commission mixte paritaire Commission mixte paritaire sur le projet de loi relatif à la prévention de la délinquance Travaux des commissions La Commission Mixte Paritaire a nommé MM. Philippe Houillon rapporteur le 20 février 2007 et Jean-René Lecerf rapporteur le 20 février 2007 Rapport déposé le 20 février 2007 par M. Philippe Houillon rapporteur, mis en ligne le 20 février 2007 à 22 heures 30, sous le n° 3736 à l'Assemblée nationale et par M. Jean-René Lecerf rapporteur, sous le n° 252 au SénatLecture texte CMP Sénat Discussion en séance publique au cours de la séance du jeudi 22 février 2007 Projet de loi relatif à la prévention de la délinquance, adopté, dans les conditions prévues à l'article 45, alinéa 3, de la Constitution par le Sénat le 22 février 2007 , TA n° 89 Assemblée nationale Discussion en séance publique Projet de loi relatif à la prévention de la délinquance, adopté, dans les conditions prévues à l'article 45, alinéa 3, de la Constitution par l'Assemblée nationale le 22 février 2007 , TA n° 703 Conseil Constitutionnel Saisine du Conseil constitutionnel le 26 février 2007 par plus de soixante sénateurs, en application de l'article 61 alinéa 2 de la ConstitutionSaisine du Conseil constitutionnel le 26 février 2007 par plus de soixante députés, en application de l'article 61 alinéa 2 de la Constitution Décision n° 553 DC du 3 mars 2007. [sur le site du conseil constitutionnel]En savoir plusLiens utilesExtrait du compte rendu du Conseil des ministresPrincipales dispositions du textePrincipaux amendements des commissions Extrait du compte rendu du Conseil des ministres du 28/06/06Le ministre d’État, ministre de l’Intérieur et de l’Aménagement du territoire, a présenté un projet de loi relatif à la prévention de la délinquance. Depuis quatre ans, la délinquance a reculé en France de près de 9 %. La poursuite de ce recul passe par le renforcement de l’action de la police et de la justice. Elle exige aussi la mise en œuvre d’une politique de prévention globale et cohérente. Le projet de loi prévoit que cette politique sera animée par le maire qui doit être le pivot de l’action autour duquel tous les acteurs se rassemblent. Dans les villes de plus de 10 000 habitants, un conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance est rendu obligatoire. Les maires seront plus impliqués dans l’aide et l’orientation des familles en difficulté ils réuniront un conseil pour les droits et devoirs des familles et pourront désigner un coordonnateur parmi les travailleurs sociaux intervenant en faveur d’une même famille. Le partage du secret professionnel entre travailleurs sociaux sera organisé dans l’intérêt des mineurs ; le maire recevra les informations indispensables à l’exercice de ses compétences. Le projet de loi prévoit que les auteurs de violences conjugales pourront être plus sévèrement sanctionnés et faire l’objet de mesures de suivi socio-judiciaire. La lutte contre les représentations et les messages violents ou pornographiques à destination des mineurs, notamment sur support vidéo, est renforcée renforcement de la signalisation sur les produits et interdiction de vente aux mineurs. Il prévoit par ailleurs que le temps d’observation pour prendre la décision de placement de malades sous le régime de l’hospitalisation d’office est étendu à 72 heures. Le préfet et le maire seront informés des sorties des personnes qui ont été hospitalisées d’office. Le projet de loi permet, si la dangerosité le justifie, à la juridiction de jugement ou au juge d’application des peines de décider que la personne condamnée pour délinquance sexuelle devra se présenter mensuellement à la police. Cette présentation sera automatique en cas de récidive. Le projet de loi réforme la loi du 31 décembre 1970 relative aux produits stupéfiants en étendant, notamment, la procédure de l’ordonnance pénale au délit d’usage pour les majeurs et celle de la composition pénale pour les mineurs. Il élargit en outre le registre des peines de substitution stage de citoyenneté ou stage de sensibilisation aux dangers des produits stupéfiants. Un médecin relais est par ailleurs chargé de mettre en oeuvre les mesures d’injonction thérapeutique prononcée par le juge Afin de mieux lutter contre la délinquance des mineurs, qui a augmenté de 80 % en dix ans, le projet de loi adapte l’ordonnance du 2 février 1945 en donnant aux délinquants une réponse individualisée et rapide à chaque acte répréhensible. Il prévoit une diversification des mesures prises par le juge placement dans un établissement scolaire éloigné du domicile, exécution de travaux scolaires, placement en internat, mesure d’activité de jour, avertissement solennel ainsi que l’extension de la procédure de la composition pénale dès l’âge de 13 ans. Le mineur récidiviste âgé de 16 à 18 ans pourra être présenté immédiatement à un juge et le jugement pourra intervenir à la première audience qui suivra, sous réserve de son accord et de celui de son avocat et de ses parents. Le projet de loi permet de placer les mineurs sous contrôle judiciaire sous la seule condition que la peine encourue soit supérieure ou égale à sept ans. Le projet de loi élargit la palette des mesures alternatives aux poursuites, ce qui est indispensable pour des mineurs délinquants. Des mesures positives sont prévues, telles que l’orientation vers une structure scolaire adaptée ou l’obligation faite aux parents de faire examiner leur enfant par un psychologue ou psychiatre. Enfin le projet de loi comporte une mesure forte d’intégration citoyenne un service volontaire citoyen est créé dans la police nationale. La période passé dans ce service sera prise en compte pour reculer la limite d’âge d’accès aux concours de la fonction publique Principales dispositions du textePrincipales dispositions du projet de loi adopté par le Sénat Article 1Rôle du maire en matière de prévention de la 5Transmission d’informations confidentielles au maire par les travailleurs 6Conseil pour les droits et les devoirs des 12 bisModification, introduite par le Sénat, de la législation relative aux chiens 12 ter et 12 quaterModification, introduite par le Sénat, de la législation relative aux gens du 13Service volontaire citoyen de la police 15 et 16Lutte contre les violences au sein du 17Protection des mineurs dans l’utilisation d’ 18 à 24Modifications du chapitre consacré à la lutte contre les maladies mentales dans le code de la santé publique sorties d’essai, traitement national des données, compétence du maire en matière d’hospitalisation d’office art 21...Articles 27 à 34Dispositions tendant à prévenir la toxicomanie développement des injonctions thérapeutiques, traitement de l’usage de stupéfiants par l’ordonnance pénale art 31…Article 35Possibilité d’application aux mineurs de la procédure de composition 38Procédure de présentation immédiate devant la juridiction pour les mineurs ».Article 39Création pour les mineurs d’une mesure d’activité de jour et de nouvelles sanctions éducatives placement en dehors du lieu de résidence habituel….Article 43Création de la 44Stage de responsabilité 46 et 47Extension des pouvoirs des agents des transports publics en matière de police des transports. Principaux amendements des commissionsTRAVAUX DE LA COMMISSION DES LOISAdoption du projet de loi le 15 novembre 2006Rapport n° 3436 de M. Philippe Houillon, UMP, Val-d’ de M. Nicolas Sarkozy, ministre d'État, ministre de l'Intérieur et de l'aménagement du territoire, sur le plan national de la prévention de la délinquance le 10 mai 2006Audition de MM. Nicolas Sarkozy, ministre d'État, ministre de l'Intérieur et de l'aménagement du territoire, Pascal Clément, garde des Sceaux, ministre de la Justice, Xavier Bertrand, ministre de la Santé et des solidarités, Brice Hortefeux, ministre délégué aux Collectivités territoriales et Philippe Bas, ministre délégué à la Sécurité sociale, aux personnes âgées, aux personnes handicapées et à la famille le 8 novembre 2006Principaux amendements adoptés par la commission des lois Article 1erInformation du maire par le procureur des suites judiciaires données aux infractions rapporteur.Article 4Information du maire par l’administration pénitentiaire des sorties de prison des détenus domiciliés dans sa commune rapporteur.Article 5La désignation d’un coordonnateur est laissée à l’appréciation de maire rapporteur.Article 6Suppression de l’obligation faite aux villes de plus de 10 000 habitants de créer un conseil pour les droits et les devoirs des familles rapporteur.Article 11 quaterSuppression de la possibilité, introduite au Sénat, pour un tiers de mettre en œuvre une procédure de résiliation de bail pour troubles de voisinage. Possibilité pour le maire d’agir contre le propriétaire défaillant rapporteur.Articles additionnels après l’article 26- Création d’une infraction de violence avec armes sur agent dépositaire de l’autorité publique commise en bande organisée ou avec guet-apens, création d’une infraction d’embuscade, augmentation du quantum des peines en cas de rébellion et peine d’emprisonnement en cas d’incitation directe à la rébellion gouvernement.- Répression de la détention ou du transport sans motif légitime de substances ou produits incendiaires ou explosifs rapporteur.Article 27La commission a adopté l’amendement n°114 ci-dessous de la commission des affaires 39La durée du placement hors du lieu de résidence est portée d’un à trois mois renouvelable une fois rapporteur.Voir les comptes rendus n° 10 et 11de la DE LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALESAvis favorable à l’adoption des articles 5 à 9, 17 à 24 et 27 à 29 du projet de loi, le 14 novembre 2006Avis n° 3434 de M. Jean-Michel Dubernard, UMP, amendements adoptés par la commission des affaires sociales Article 6Suppression de l’obligation faite aux villes de plus de 10 000 habitants de créer un conseil pour les droits et les devoirs des familles Mme Christine Boutin, UMP, Yvelines.Article 27Habilitation de l’autorité sanitaire à faire procéder à une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale d’une personne susceptible d’être soumise à une injonction thérapeutique amendement n° 114 présenté par le rapporteur pour avis.Voir le compte rendu n° 11 de la commission. © Assemblée nationale

chargé de mission prévention de la délinquance